Le pacte des rêves
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 Le Moyeu du conflit - Osoresh

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Argul
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Argul


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MessageSujet: Le Moyeu du conflit - Osoresh   Le Moyeu du conflit - Osoresh EmptyVen 27 Fév - 14:19

Spoiler:

Musique thème de la ville d'Osoresh: http://serveur1.archive-host.com/membres/playlist/1424398738/15InevitableEmbrace.mp3

La petite troupe du Général Argul entra dans la ville tandis que le soleil n'était pas encore haut dans le ciel. La ville était visible de loin par ses hauts bâtiments visibles malgrés les grandes muraills de la cité qui avait résistée il y a environ 1200 ans aux assauts de l'armée de Zera. En permanence des soldats guettaient, et ils virent venir bien à l'avance le petit groupe de soldats. Qand Argul arriva aux portes immense d'Osoresh, assez grandes pour que des catapultes et des trébuchets puissent emprunter ce chemin, celles-ci s'ouvrirent tranquillement. Aucun garde ne demanda au général la raison de sa venue, seul quelqu'un ordonné l=par le roi pouvait faire une chose de ce genre et ne pas risquer la mort. Argul laissa cependant son cheval a un garde dontc'était le role à l'entre de la ville et fit signe à ses camarades de faire de même. Ensuite, ils allèrent directement au chateau principal de la ville, celui de de la cours du roi. Ce fut sur le chemin que la Dame Grise se montra, surprenant Argul qui nel'avait pas vu venir. Elle se trouvait en effet à deux mètres de lui quand elle parla, et ce sont ce qu'elle dit qui fit qu'il se rendit compte de sa présence. Etrange pour une femme au physique particulier, normal pour la meilre générale de tout le royaume.

Spoiler:

-Argul,comment vous portez-vous donc?

-Mal, sinon je ne serais point ici mais là ou je me plait.


Elle hocha la tête, et la grande décida de suivre le petit groupe de gens, ele devait aprè tout avoir la même destination qu'eux. Mais Argul, avec cette membre des arcanistes, savait à quoi s'en tenir. Son caractère bizarre n'était pas véritable, justequelque chose qui peut parfois déstabiliser quand on ne le connait pas. Il espérait juste qu'elle n'agirait pas contre lui, car e nest pas parce qu'on est du même groupuscule qu'on agit toujours en faveur d'un autre membre du meme groupe.

Ils entrèrent donc ensuite dan le palais.

-Rejoignez vos quartiers, ou bien trouvez-vous en, dans l'aile ouest, je ne sais pas trop omment tout va se dérouler, de manière général laissez couler, et faites moi un rapport si vous voyez quelque chose de bizarre.

Argul partit donc rejoindre sa chambrée, il comptait bien y dissimuler la commande passée quelques temps avant à Wayne, de son côté, Arioch était elle aussi partie quelque part dans le palais, sûrement à une reunion des membres résidents provisoirement à Osoresh du Concile des Arcanistes.

[Pas génial, mais pas énormément d'inspiration.]
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Wayne

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MessageSujet: Re: Le Moyeu du conflit - Osoresh   Le Moyeu du conflit - Osoresh EmptySam 14 Mar - 23:40

Après plusieurs jours de voyage, Argul et sa garde rapproché arrivèrent à la Capital. Une immense ville plutôt chaleureuse mais à la fois terrifiante de par ses immense bâtisses. Un peu à l’image de l’armée Médiane, immense et impressionnante. Bien sur la capitale était extrêmement peuplé, surpeuplé on pouvait dire. Et comme la plupart des grandes villes, il y avait le quartier riche où régnait espaces verts et fontaines et le quartier pauvre avec des maisons insalubres.
Wayne ne venait ici que pour la troisième fois. La première était quand il avait commencé à retrouvé la trace de son frère ainé, la seconde lorsqu’il avait juré allégeance au pays : Médiana.

L’ancien mercenaire n’appréciait pas vraiment les grandes villes. Trop d’agitation, trop de personnes donc trop de risque de bagarre et donc de se faire remarquer. La plupart du temps il restait à l’extérieur se contentant de la regarder de loin. Mais bon il avait dit à Argul qu’il l’accompagnerait jusqu’au bout c’est donc ce qu’il fut. Même si ce bout de chemin arrivera une fois qu’il rentrera dans le château. Malheureusement pour lui pour la discrétion c’était raté, lorsque la petite troupe arriva tout le monde s’écarta sur leur chemin. Wayne n’aimait pas ça, cela le mettait mal à l’aise et puis pour lui c’était un signe de faiblesse des autres. Hormis devant Argul, il ne s’inclinait et s’inclinerait devant personne, plutôt mourir ! Sa devait surement être son coté mercenaire qui ressortait, mais pour lui c’était une question de fierté. Personne n’était supérieur à lui hormis Dieu, mais il ne croyait pas en ce personnage que les gens prient dés qu’ils sont en difficulté, comme ci une intervention divine arriverait. Il ne croyait ni aux miracles, ni au destin, seulement à sa force. Il n’y avait qu’elle qui ne l’avait jamais trahi. Pour lui s’il avait ses pouvoirs c’était grâce à elle et seulement elle pas à Dieu ou qui que se soit.

Enfin bref il n’était pas question de ses idées religieuses, mais de son arrivé à lui, Argul, et les autres misérables. Une mystérieuse femme vint parler au Général, étant donné qu’il était au fond du rang il ne pu entendre leurs brève conversation. Il remarqua simplement qu’elle repartit aussi rapidement et discrètement qu’elle était venue.
Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent au gigantesque palais. Les soldats chargés de la garde leurs ouvrirent, et ils arrivèrent dans un hall immense, plein de colonne de marbre, de peinture au plafond…
Wayne eut à peine le temps d’observer les lieux qu’Argul les envoya dans leurs quartiers. Le rejeté fut soudain pris de curiosité. Comment pouvait être sa chambre ? Immense et surchargé de décorations, surement. Mais il avait quand même envie d’y aller jeter un œil. Il traversa de nombreux couloirs, monta des escaliers, ouvrit des portes et arriva enfin dans sa chambre. Un lit démesuré avec des draps en soie, un long bureau et un mannequin en or pour déposer son armure.

Il s’installa à son bureau dans un fauteuil tout ce qu’il y a de plus confortable, tira une feuille du tas et attrapa un stylo en or.

" Général Argul, ou plutôt Fénéran. Depuis que ma mère à accouché de moi je vis dans votre ombre, ignorer de tous. Sa a commencé dans la troupe de mercenaire où vous avez été élevé au maniement de l’arme et maintenant dans l’armé, mais cela ne me dérange, disons que j’ai pris le pli. Pour vous, je ne suis que Wayne, votre fidèle lieutenant qui ne s’embarrasse d’aucune responsabilité et qui tue mystérieusement toutes personnes se mettant sur sa route. Ce qui certes est vrai, mais tout cela est bien plus profond. Pour commencé lors des massacres, j’utilise un don que moi-même je peux expliquer l’origine. Tout ce que je peux dire c’est que je peux créer n’importe quel poison à volonté et ceux sans ingrédients seulement en touchant quelqu’un. Mais bon, ce n’est pas ce qui amène ma lettre. La vérité sur mon départ de l’armée Médiane est que je ne suis pas fait pour combattre sous les ordres de quelqu’un même sous les vôtres. J’ai besoin de mon indépendance et de plus si vous quitté l’armé je n’ai plus rien à y faire. Car oui, la seule chose qui ma amené à rentré dans l’armée c’est vous et le lien qui nous unis qu’on le veuille ou non. Tout simplement parce que le père que je n’ai pas connu était aussi le votre ainsi que la mère qui ma élevé. Malheureusement plus personnes n’ai là pour le confirmer et cela pas par ma faute d’un coté. Je n’ai que ma parole et j’espère que cela vous suffira pour être convaincu. Nous sommes frère et je n’ai jamais eu le courage de vous le dire, car d’un certain coté vous m’impressionné. "


Il finit sa lettre ainsi, brutalement, il n’aimait pas les adieu surtout maintenant. Il plia la lettre et la mis d’ans une enveloppe qu’il signa de son nom.
Il n’était pas triste de partir, mais il se sentait seul, comme ci cela durerait éternellement.
Wayne se leva brusquement et sortit de sa chambre sans même fermer la porte. Après avoir traversé plusieurs couloirs il se retrouva face à la porte du Général. Il glissa la lettre sous la porte et disparu aussitôt.
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Argul
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MessageSujet: Re: Le Moyeu du conflit - Osoresh   Le Moyeu du conflit - Osoresh EmptySam 21 Mar - 14:50

Après avoir rangé ses affaires dans sa chambre, il en sortit afin de se renseigner auprès de ses informateurs habituels des faits s'étant déroulés à Osoresh durant son absence. Ce n'est qu'une fois de retour dans sa chambre, en ouvrant la porte, qu'il trouva une lettre sur le sol et que, prenant attention à la manipuler (histoire de poison, on ne sait jamais) il la lut et la froissa pour ensuite la jeter dans la cheminée qui brulait dans l'âtre. Que Wayne soit son frère, soit, c'était dans le domaine possible et envisageable, mais que son frère ai lui aussi un pouvoir était une grosse coïncidence quand même... Les détails n'étaient pas vraiment importants, il ne se souciait plus depuis longtemps de son ancienne troupe de mercenaires. C'était sinon, la lettre de démission de Wayne. Celui-ci n'avait pas compris grand chose visiblement à ce qu'il se passait. Ce ne sont que les nobles qui peuvent faire la guerre en général, il n'allait pas arrêter d'être général de Médiana. Mais il ne pouvait plus y faire grand chose, ne sachant quand son frère était parti il ne désirait pas se mettre à le chercher partout. Si ce qu'il disait était vrai, ce qui restait à prouver. Il n'avait même pas écrit le nom de ses propres parents, ce qui mettait sa parole en doute, mais bon... Argul se reprit et arrêta de penser à cela afin de se concentrer sur autre chose.


****


-Nos agents à Hutoo indiquent l'organisation des pirates afin de participer à notre guerre contre Phoenixia,en conséquence de quoi, Duc Vermillion des Terres Obscures de Cushor, vous êtes mandater à présent afin de mener l'assaut contre cette nation qui s'oppose à nos armées. Le commandement de l'armée de libération du peuple de Phoenixia est remit à la Générale Arioch.

Férénan hocha de la tête à l'ordre du Roi, bien que cela ne lui plaisait pas au final de devoir abandonner son armure, il devait obéir ou trépasser, tel était le mot d'ordre de manière générale à Médiana. Il se releva quand le Roi y consentit, et s'ensuivit un repas de festivités afin de fêter la futur victoire de la nation civilisée sur les barbares...

***


Il avait raté quelque chose, une chose qui se devait d'être tellement énorme que personne ne lui en avait parlé. A moins que ça ne soit un effet désiré? Quoi qu'il en soit, il avait cette pierre maudite à la main, et ne savait pas trop quoi en faire. Un "éclat solaire", c'est comme ça que ça s'appelle, ou simplement un morceau du soleil. Une pierre aux reflets irisés très rare, tombée du ciel. Il n'y en avait que deux, à Osoresh et à Cushor, car c'est là seulement en Médiana que de telles pierres étaient tombées. Le fait est que les seigneurs de Cushor ne vivaient en général que très peu de temps après avoir touché cette pierre. Bref, on lui avait tendu un piège et il était tombé dedans tout sourire.

-Trop tard pour se pencher sur cela, il te faut dissimuler cette babiole. S’ils veulent te tuer pour l'avoir, ils ne pourront pas, tu devras rester en vie.

Bon, il y avait le problème que cela impliquait, celui que pour en arriver là il devait perdre sur tous les points, mais autant se garder une sortie de secours. Il partit donc dissimuler sous une des pierres de la ville le joyau avec un manuscrit avec, comme quoi celui qui le trouvait serait son possesseur régulier si lui-même était mort. De plus, le Loup avait affirmé que celui finirait probablement par redevenir son bien, alors qu'il ne comprenait pas tout. Il se faisait utilisé surement par Luc, mais les actes de celui-ci semblaient aller dans son sens, et c'était la seule raison pour laquelle il faisait ce qu'il disait parfois.


****


A l’orée de la forêt jouet une enfant, accompagnée de sa mère. Tandis que la jeune fille, âgée d’environ 5 ans courait dans le pré, sa mère derrière elle la poursuivait tout en rigolant. Cette femme avait cependant une arme accrochée à la taille, une rapière, afin de se défendre. Elle attrapa sa fille et la soulevant de terre pour la prendre dans ses bras, roula dans le sol avec elle. Elles finirent par s’arrêter quelques temps, malgré les injonctions de la fille désirant continuer de courir partout, car sa mère commençait malgré tout à en avoir plus qu’assez de courir tout azimut. Quelques minutes passèrent, et soudain elles entendirent toutes les deux un cliquetis, que la mère reconnaissait parfaitement. Celui d’hommes en armures. Elle se leva et fit signe à sa fille de se lever à son tour. Elle aperçut la troupe, et s’accroupit alors afin de se faire plus discrète, tout en faisant signe à sa fille de ne plus faire de bruits. La petite fille surprise, savait qu’elle devait obéir dans ce genre de condition à sa mère, et pas un son ne sortit de sa bouche. Cependant, un des soldats, tournant la tête les vit toutes les deux et les montra du doigt à l’attention de ses camarades tout en disant des choses que Emilia ne pouvait comprendre. Elle retira alors sa rapière de son fourreau, se préparant à affronter seule ce qui venait. Elle avait toujours su, en son fort intérieur, qu’une telle chose allait arriver, tout en espérant justement qu’un tel instant jamais ne vienne.

****


Des traitres... Ils sont partout, mêmes là où l'on ne s'y attend pas. Arioch, avait ma confiance, je la considérais comme mon alter-ego, et pourtant elle m'accuse, alors que je viens d'être anobli selon la coutume, d'actes de séditions. Sûrement par un stratagème de Voroon, mais même comme cela, ce n'est pas pardonnable. Surtout connaissant le sort qui aujourd'hui m'est échu.
Ma femme et ma fille, ont été découvertes et servent d'otage afin que je reste dans ma geôle, ils comptent leur faire subir ce que je vais subir si je tente quoi que ce soit.


La douleur est autre, et je ne peux plus tenir quoi que ce soit entre mes mains, car je n'en ai plus. Mes oreilles aussi par la même occasion sont parties, mais cela ne m'empêche pas d'entendre pour autant, car ils n'ont pas brulé l'oreille interne au fer rouge, comme ils comptent en faire pour mes yeux. Seigneur Arkh, je vis là où les ténèbres grandissent, et je ne vois pas de lumière si ce n'est celle que je ne peux plus ne serait qu'effleurer. Seigneur Arkh aidez-moi dans cette épreuve...


-Je t'avais prévenu, et tu passes par là ou je suis passé moi aussi, bien que cela ne soit encore plus dur pour toi que cela ne l'a été pour moi. Mais tu te trompes, ne prie pas. Car c'est ton dieu qui t'as mis ici, ta situation à changée, mais en mal. Tu as voulu faire bien, mais tu priais un dieu tout en accomplissant des actes qui tiennent d'un autre. LA destruction d'Haarkh n'est qu'une transition rapide. La guerre est ainsi, le meurtre aussi. Ce que tu subis est un changement rapide dans un monde lent.

Des heures durant, dans l'ombre du cachot, les oreilles tranchées, et des moignons en guise de bras, Argul écoutait Luc et lui parlait désormais à voix haute, sans plus se soucier de ce qui se passerait. La mort pour sorcellerie était plus douce encore que ce qu'il allait subir.

****

3 JOURS PLUS TARD


La discussion s'était organisée et désormais c'était par la même bouche qu'Argul et que le Loup connut par Férénan sous le nom de Luc Thorn, dialoguaient. De plus, durant les trois jours d'enfermements, une autre âme était apparut, celle de celui que Argul avait tué, dans l'hôpital psychiatrique de Faolia, un dénommé Mihaël Magnus. Luc à dit qu'il l'avait amené avec lui dans le corps de Argul, mais que celui-ci étant très discret et timide, il n'avait pas voulu parler.
Férénan -Il est le seul, le seul rempart. nous devons le détruire.
Mihaël -Oui, il n'y a qu'un seul bourreau à Osoresh, habilité à faire ce traitement. Les autres sont dans les autres nations, et en ce moment ils n'ont plus trop la possibilité de partir.
-Oui, nous non plus mais après tout, perdre?
Luc -Rien, tu vois la vérité. Nous n'avons rien à perdre.
-Sinon ce qui nous reste d'existence, mais en l'occurrence...
-Mais pour elles...
-Abandonne. Ta femme est veuve et ta fille orpheline. ou peut-être qu'ils sont déjà morts.
-Je ne veux pas y croire...
-Vouloir ou pas, c'est une barrière. S’ils ne sont pas morts, ils mourront, et dans ce cas, accorde-leur une mort décente.


La discussion était très étrange car Argul arpentait son cachot tout en parlant, agitant les bras comme lors d'un discours démonstratif. Le garde devant la cellule avait depuis quelque temps arrêté d'essayer de suivre la discussion, ne pensant avoir affaire qu'à un simple dément.

****


Trainé par ses geôliers, il essayait pour autant de paraitre un minimum digne dans sa misère actuelle. Aujourd’hui on allait lui couper la langue est lui brûler les yeux, et il anticipait la douleur d’un tel traitement. Mais il vit qu’on ne l’emmenait pas dans la salle de torture, mais au contraire, qu’on montait dans le palais. Où était-il emmené ? Cette question ne dura qu’une seconde dans son esprit, car son pied venait de cogner durement l’angle d’un mur de pierre, et ainsi détournait son attention. Au final, on le fit entrer dans la salle du trône, qui ne comportait que quelques personnes. Le Roi bien sûr, Arioch, Voroon et… sa propre fille. Cela bien sûr, en plus des gardes qui l’empêchaient de se mouvoir.
Le Roi – Tu ne comprends surement pas pourquoi nous agissons ainsi, le fait est que tu possèdes ce don divin n’y est pas pour grand-chose, c’est ta manière d’agir.
Arioch – Tu agis comme un servant de Haarkh, et nous ne pouvons nous permettre d’en avoir un dans notre camp, tu sais comme moi que ça apporte le malheur.
Voroon – De plus, il faut l’avouer, ta situation est particulière, certains voient en toi un héro qui pourrait si il le veut hériter du Royaume, d’autres voient en toi un être maléfique, pas même un être humain.
-Là n’est pas le problème Voroon. En vérité, l’usage que tu fais de ton don est excellent, mais nous ne pouvons nous permettre de nous mettre le peuple à dos, qui n’hésitera pas à lapider tous ceux qui aiderons un sorcier, ou quelqu’un supposé en être un.
-Ta fille ici présente, est là comme nous te l’avions dit, ta femme cependant est morte en la protégeant. Désolé.

C’est là que Argul, dont la surprise de la situation avait empêché quelques instant son cerveau de fonctionner, le fit fonctionner à grande vitesse. Ils avaient tué sa femme, et il savait le sort réservé à sa fille, en tant que fille de sorcier. Le même sort que lui-même subissait actuellement. Mais, ne pouvant pas agir lui-même contre sa fille, il fit pour la première fois confiance à celui qui habitait dans ce corps comme lui.
-Vous ne pouvez agir de manière efficace contre nous. Vous ne pouvez espérez nous vaincre ou nous tuer, car toujours nous reviendrons d’entre les morts
-Hein ?
- Vous connaissez comme moi les huit lois Vesperiennes, et vous les trahissez en cet instant.
La vie prévaut. L’humanité prévaut sur les autres races terrestres. La vie d’un être humain vaut celle d’une nation. Tout être humain se doit de respecter l’intégrité morale, mentale et physique de ses congénères. Chaque être peut disposer de son intégrité comme il le souhaite. Toute violence est proscrite, dans le verbe ou dans le geste. Les différences sont sources de fiertés, mais ne doivent pas être sources d’orgueil. La mort ne doit pas être une limite.
Chacun suit en général la ou les règles qu’il désire. Mais la sixième loi est bafouée ici, à Médiana, en faveur de la dernière loi. Mais aucun de vous ici présent ne comprend vraiment ce qu’elle signifie. Car pour moi aujourd’hui, je suis enfin capable de comprendre et d’appliquer cette loi dans son intégrité.

****

Tout Médiana était en branle, le royaume s’agitant comme une fourmilière dans laquelle un enfant venait de donner un coup de pied. Le Roi était mort, ainsi que trois des généraux, ainsi que quelques soldats, dans une explosion monumentale dans la salle du trône. Et pourtant, la mort ne doit pas être une limite .
****

Le choc avait été violent, mais aucune douleur ne l’avait atteint. Il en espérait la même chose pour sa fille. Mais quand les liens du sang sont rompu d’une telle manière, est-ce qu’ils existent encore ?
*Ta fille restera à jamais ta fille. *
Il apprit que sa femme était morte, oui en protégeant sa fille, mais contre la foule. La foule qui apprenant qu’elle était la femme d’un sorcier avait tenté de la massacrer, elle et son enfant.
Il avait désormais un autre corps, qu’il avait grâce à cette capacité que possédait Luc, qui était capable de contrôler les esprits, et ainsi de changer de corps à la mort de son hôte. Le corps cependant qu’il avait, lui semblait étrange, et cette sensation avait été confirmée par Luc qui disait cela normal. Il y a un temps d’adaptation. C’est le corps d’une femme certes, mais celui d’une race humain un peu différente de la sienne, un peu comme celle d’Arioch qui avait la peau grise. Sauf que là, c’était une peau plutôt jaune bronzé, et en plus la femme avait plusieurs tâches de naissances, chose normal pour sa race le savait Argul. Ils avaient choisit ce corps, Luc et lui, car c’était celui d’une guerrière, et qu’il valait mieux ne pas avoir à entrainer un corps novice dans les arts combattifs. Au final cependant, Argul ne pourrait plus utiliser de son épée géante désormais, car bien que guerrière, la femme aurait put soulever l’épée, mais pas la manipuler comme lui le faisait dans le corps de Férénan.
Spoiler:
*Ne t’inquiète pas Argul, nous aurons notre revanche, sur eux, d’une manière et d’une seule qui puisse nous satisfaire.*
*Oui, et qu’importe le temps que cela prendra.*
Ils partirent donc, trois esprits, trois âmes, un corps, hors d’Osoresh. Avec une destination en tête, Hutoo.

[HRP : Un peu bâclé, mais le temps de manière générale et l’imagination, me manque tous les deux afin de rendre ce post plus attractif.]
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MessageSujet: Re: Le Moyeu du conflit - Osoresh   Le Moyeu du conflit - Osoresh EmptyLun 30 Mar - 8:55

Depuis que Wayne avait quitté Osoresh et son frère, il se sentait mal. Bien qu’il essayait de se convaincre que ce n’était rien, il avait le sentiment que quelque chose se passait, quelque chose de grave… Il n’avait jamais ressenti sa avant, du moins aussi intensément. Il avait en vie de faire demi tour, mais il avait décidé de tout laisser derrière lui et de recommencer sa vie, pour la seconde fois et il ne devait pas renoncer. Malgré tout, il ne savait pas vraiment ce qu’il allait faire. Il avait affirmer à Argul qu’il redeviendrai mercenaire, mais l’envie n’était plus là et avait sûrement j’aimais été là. Reprendre une vie où chaque moment peut être le dernier, être au aguets à tout moment et combattre la famine qui frappe à certaine période, il ne voulait plus faire ça… Où était l’intérêt ? Qu’es qu’il y gagnait ? Une poigné de pièce, juste à peine de quoi se nourrir et se préparer à un nouveau contrat. Cette vie ne rimait à rien, il faudrait peut être qu’il songe enfin à fonder un foyer, une famille et s’assurer une descendance. Même cela, à quoi cela servirait ? Laisser une trace de soi ? Pour qui ? Pour quoi ? Tout ceci ne sont que de simples idéaux que les gens décident pour se voiler la face, notre nom reste dans la mémoire et dans le cœur de nos enfants, puis simplement de la tête de leurs enfants avant de disparaître dans l’ignorance et l’oubli.
La vie n’est qu’une farce, se tuer au travail pendant tant d’année dans l’espoir d’offrir de meilleurs jours à nos enfants qui feront exactement la même chose. Au final personne n’en profite et il est trop tard lorsque l’on s’en rend compte. Les hommes vivent dans leurs rêves, de simples rêves qui finisse par avoir raison d’eux. Les soldats se battent pour des raison que la plupart du temps ils ignorent et pour un roi qu’il n’ont jamais aperçu. Ces mêmes rois qui pensent affirmer leurs puissance grâce à des bout de terre, alors que la guerre prendra fin bien après leurs dernier souffle.
Les gens sont conscients de tout ceci, mais se voile la face rêvant d’un lendemain meilleur. Et le peu de gens essayant d’affronter cette routine sombre dans la folie ou meurt tout simplement dans l’indifférence de tous. Il préférait encore être de cela, vivant au jour le jour guidé par ses seuls désirs, dirigé par ses propres règles et inscrirai lui-même son nom dans le marbre de l’Histoire.

Le sortant de ses pensé, un cheval approchait avec sur lui un crieur. Ces gens donnant des nouvelles du monde entier, au courant de tout et le criant à qui voulaient bien l’écouter.

- Le roi est mort ! Tué par la sorcellerie du Général Ar…


Il n’eut pas le temps de finir son annonce que l’ancien lieutenant posa sa main sur sa monture qui s’écroula aussitôt. Sonné, il n’eu pas le temps de retrouver ses esprit que le Rejeté l’attrapa à la gorge et murmura à son oreille d’une voix terrifiante.

- Parle ! Ou tu finira comme ta monture !


Complètement horrifié à la vue du corps de l’animal inerte il ne pu qu’émettre que des gémissements. Il lui fallut plusieurs secondes et surtout une certaine dose de ce que Wayne appelait le poison des bavards. Complètement drogué, un large sourire s’afficha sur le visage du crieur et d’une voix joyeuse il commença son récit.

- Le roi est mort, mon ami ! Alors qu’il avait torturé et s’apprêtait à tuer le Génral le plus terrifiant du pays, Argul, une énorme explosion fit péter le palais et vu l’ampleur de l’explosion je doute qu’on retrouve des morceaux de corps. Tout le monde soupçonnait le Général de sorcellerie, mais être aussi puissant cela surprit tout le monde. Ce nom là, on n’est pas près de l’oublier. Argul, celui qui à raser un quartier entier ainsi que le roi.


Sur ces mots Wayne se releva et se dirigea en direction du Sud où il y prendra un bateau pour naviguer à travers le monde, laissant le crieur plongé dans son sommeil… éternel. Il venait de lui annoncer leur lien et venait de prendre la décision de laisser une trace de lui dans les livres, qu’encore une fois son aîné vint lui prendre la vedette même si cela fut au prix de sa vie. Bizarrement l’annonce de la mort de son frère ne lui fit ni chaud ni froid, alors qu’il l’avait côtoyé pendant des années et tant de combat. Il était à la fois son modèle et le détestait pour avoir toujours été meilleurs que lui. Mais à présent tout était finis, son frère mort, dernier lien de famille, il pouvait recommencé sa vie. Et cette fois il ne s’embarrasserai pas de personne inutiles, si quelqu’un essayait de lui barrer la route il le tuerait.
Une route qui était plutôt simple, du moins à expliquer. Rester dans la mémoire des gens, devenir une légende même après plusieurs générations. Que son nom face trembler les armés et pleurer les enfants. Devenir un Démon !
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