[Avant de tout commencer a lire, mesdames, messieurs, notez que la fiche d'erieth se trouve tout en bas par soucis de lisibilité et de compréention .... et afin d'éviter le chaos, je les ai toute les deux séparée =P]
Nom : Mortalis
Prénom: Ophélia
Âge: 8ans
Sexe: féminin
Alignement: neutre
Origine : terrienne
Rôle : Contractor
Pouvoir : elle est capable de tromper les sens d'une personne ou de les altéré de manière un peu imprévisible (plus ou moins...)
Niveau d'Union : Éveil
Armes : //
Localisation: La terre
Caractère (7-8 lignes):
Physique :
Histoire (15 lignes minimum) :
Introduction…
Voici l’histoire, un peu trop triste
D’une famille un peu trop malchanceuse
Pour les cœurs un peu trop sensibles, abstenez vous de lire la suite
Les rôles principaux, sont attribués
A une mère un peu trop occupée
A un père un peu trop impulsif
A un fils vieillis un peu trop tôt
A une fille un peu trop imaginative…
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Première partie, le commencement
Tout a débuté
Dans un tout petit café
Elle, y travaillait
Lui, un thé commandait
Un sourire
Puis un rire
Peut-être une histoire idyllique a conté aux enfants
Ou à redire aux parents
Pour qu’ils gardent espoir
A propos des histoires…
Coup de foudre instantané
C’était peut-être leur moment le plus fortuné
Surement le seul moment de chance
Dans leur petite romance.
Le jeune homme intéressé
Lui proposa une petite soirée
La demoiselle curieuse
N’en tomba que plus rapidement amoureuse
Le temps passa rapidement
Les rendez-vous se multipliant
Et bien rapidement
Tout deux devinrent beaucoup plus qu’amant
et un jours… vint leur premier enfant…
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Le tout premier….
Le premier fils que ces deux individus mirent au monde fut rapidement nommé _______ Blond comme les blés, comme la chevelure de sa mère, il ne ressemblait en rien a son père excepter pour les yeux d’un violet tendre, sans être trop pale ni foncé. On n’expliquait pas cette couleur, mais a quoi bon puisqu’elle était magnifique! C’était un jeune garçon, joueur de tour, peste mais… Le plus heureux de petits garçons. La mère a ce moment entrepris de faire des études. Pour avoir un meilleur travail que celui de serveuse dans un petit café. Le père, borné, n’en faisait qu’a sa tête et était devenu père au foyer, pour rester avec son garçons a qui il apprenais a pêcher, a courir après les grenouilles et a attraper les têtard dans l’eau des marres. Le père et le fils s’entendaient comme larron en foire. Le tout premier de leurs enfants, le tout premier et surement le seul à être le chouchou… Le favori, le préféré, le seul et l’unique pour le moment du moins.
Mais ce petit ange cornu, souriant et un peu gaffeur… sombra dans une horreur que l’on nomme maladie. Atteint d’un cancer grave, généralisé… tristement lugubre et follement inévitable. A ce moment là, une petite lueur de joie. La mère un peu trop occupée… était à nouveau enceinte…
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La deuxième, la petite fleur
C’est un peu ici, que commence l’histoire qui vous intéresse. Une nouvelle naissance, un nouvel espoir. Une demoiselle avec les cheveux aussi sombre que ceux de son père. A la silhouette aussi menue que celle de sa mère, au trais si bien dessiner qu’elle devint vite leur petite poupée adoré. Elle aussi, avait les yeux chargés de mystère de son père, sur une teinte un peu plus foncée. Et son sourire qui ne la quittait jamais. Elle était curieuse et grandissait tel une fleur dans un jardin de mauvaise herbe. Été comme hivers, ils étaient au chevet du plus vieux, le tout premier. Celui qui était préféré entre eux deux. Mais la petite fleur était fragile. Tendre petite pousse, elle qui nécessitait de l’attention qu’elle n’eut que rarement, car sa mère entre le salon de thé ou elle était serveuse, ses études pour un avenir meilleur et l’autre boulot qu’elle s’était trouvée comme barman dans un bar… n’avait guerre le temps a accordé pour s’assuré que la petite fleur pousse bien, droite et belle. Le père, chagriné par la maladie de son fils, ne portait pas non plus beaucoup d’attention a sa petite fille, poupée de porcelaine dans ce décors froid d’hôpital.
Elle commença a s’inventer des ami imaginaire, se sortant de sa torpeur par les rire qu’elle s’inventait. Par les gens qu’elle imaginait. Par les créatures qu’elle aurait voulu voir prendre forme. Elle avait 5 ans et surement trois fois plus d’ami qui n’existait pas. Se désintéressant de la réalité, elle disparaissait parfois dans son petit monde et oubliais tout, Manger, dormir ou même parfois respiré tellement elle était loin, loin dépasser la lune. Ses parents, triste qu’elle soit ainsi, redoublèrent d’effort dans leurs travaux et en plus de payer l’hôpital pour le gamin payèrent le psychologue pour la petite qui n’avait que quelque année de vie.
Le psychologue ne put faire grand-chose avant que la demoiselle… ne fut a son tour atteinte d’une malheureuse et triste maladie a son tour. Mais cette fois, ce ne fut pas aussi grave que celle de son ainé.
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La grande noirceur
Atteinte d’une cécité progressive, la petite fleur commença a voir la vie littéralement un peu plus sombre a chaque années, mois, jours, heure, minutes et seconde de sa vie. Elle n’en sombra qu’encore plus dans la solitude et dans sa petite « bulle » jusqu’au jour ou, d’un coup sa vue… ne se résuma qu’a un noir profond…
-Maman… MAAMMMAANNNN, pourquoi il fait tout noir. La lumière est complètement éteinte ?
La maman, apeurée, effrayée par les cris sortit de la petite pièce, grosse comme un placard et alla rejoindre sa fille dans sa chambre. Elle était assise sur le sol. Ses jouets répandu autour d’elle, la lumière était pourtant très forte… La petite tourna la tête dans sa direction.
-Maman ? Tu veux bien rallumer la lumière. Balta ne voit pas non plus ou il met les pattes…
Balta était le nouvel ami que la demoiselle s’était créer. Le dernier en date. Le plus normal pour le moment. C’était supposé être un chat roux et pour que la petite fille dise que même son balta n’y voyais plus rien… La mère s’agenouilla a coté de la petite demoiselle, lui prit le menton et examina ses yeux.
-Ma petite chérie, tu es sure que tu ne vois rien ?
-oui maman, je vois rien du tout du tout !
-…
-pourquoi tu ne dit plus rien maman ?
Les larmes s’était mise a couler sur les joue de la mère. Elle serra sa fille dans ses bras, en faisant taires ses sanglots. Elle devait etre forte pour sa fille.
-cocotte, ce n’est pas la lumière qui s’est éteinte…
-ah bon ? alors c’est quoi maman ?
Comment dire a une petite fille qu’elle ne verrais plus jamais ?
-eh bien… cocotte, tes yeux ne fonctionne plus. Tu te souvient de ce qu’avait dit l’homme a la chemise blanche ?
-Oui, qu’il ferait progressivement noir… Maman, est-ce que c’est Balta qui a prit mes yeux pour y voir plus clair ?
-Non ma chérie. Tes yeux sont encore là… disons… qu’ils sont éteint.
-Est-ce que tu peux les rallumer maman ?
-Non ma chérie… non… je ne peux pas…
Entourée de noirceur, dans les ténèbres constante, ce fut ainsi qu’elle commença un nouvel apprentissage. L’art de se déplacer dans une pièce encombrée…. Un jour… enfin une nuit… quelque chose d’étrange se passa…
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Ami? D’accord! Ami!
Un rêve… c’est éphémère non ?
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Nom : Merevit
Prénom: Erieth
Âge: 35ans
Sexe: masculin
Alignement: neutre
Origine : Vespérian
Rôle : Contractor
Pouvoir : Peut capter la vérité et le mensonge a travers toute les paroles ou actions.
Niveau d'Union : Éveil
Armes : Erieth a apprit l’art de se battre avec tout ce qu’il trouve. Mais son style de combat est relié a tout les points sensibles du corps qui permettent de paralyser ou d’endormir. Il est extrêmement précis
Localisation: La terre
Caractère (7-8 lignes):
Physique :
Histoire (15 lignes minimum):
