[ J'ai essayé un nouveau type d'histoire... Je sait pas si c'est réussi ^^']
Histoire :- L’habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même.Craig répétait cette phrase sans cesse. Fou, mais pas dupe, il sait ce qui lui arrive et en une seule phrase il explique se qui lui arrive. Cela fait maintenant plus d’un an, sa femme, son amour, sa contractante à quitté tout monde. Tué, par le manque de force de Craig, et par l’OCCC et depuis ce fait, Craig sombre peu à peu dans la folie. Au début, il ne pensait ne plus avoir de raison de vivre, et tenta plusieurs fois de se suicider, mais une promesse l’en empêchait. Une promesse de vengeance, il avait juré lors de la mort de sa bien-aimée.
Sa femme et lui courrait à travers les petites rues de Londres, sur leurs talons plusieurs personne, un groupes : l’OCCC. Pourquoi ? Leurs différences, leurs pouvoirs, le pacte de leurs amours. Cette cours poursuite dura plusieurs minutes, plusieurs heures. Tout ce fini dans une ruelle, un cul de sac.
Entourer par des hommes sans cœur, une vingtaine peut être plus. Craig, courageux, s’avança, les frappa un par un, provoquant leurs plus grandes peurs, jusqu’à se que leurs corps sans vie s’effondre au sol. Morts de peurs, ou de blessures, peut être même les deux à la fois. Mais sa n’en finissait pas, plus il en tuait, plus ils y en avaient. Pendant une seconde, ils eurent une chance de s’en sortir, entre deux vagues d’ennemis. Craig porta sa bien aimée, trop faible pour courir. Une course de quelque secondes, mais qui lui sembla durées des heures. Il se cacha dans une maison abandonné regardant, à l’abri les derniers assaillants partirent. Il se retourna sur sa contractante.
Un bout de ferraille, une balle, enlaidissait son visage sans expression, dépourvue de vie.
Depuis cette promesse, il tue tous membres de l’OCCC, Contractants ou Rejetés, en attendant que son heure vienne.
- La mort est quelquefois un châtiment ; souvent c'est un don ; pour plus d'un, c'est une grâce.Une autre phrase, dite par un fou. Pour lui la mort n’était pas synonyme, d’un châtiment, non loin de là. Pour lui la mort voulait dire qu’il pourrait rejoindre sa femme dans l’autre monde. Il n’avait pas peur de la mort, puisque la peur, c’est lui.
- Tuez un homme, vous êtes un assassin ; tuez des milliers d’hommes, vous êtes un héros.Voilà ce qu’il pense, il n’est pas un assassin, ou un psychopathe meurtrier. Il est un héros, il sauve le monde d’une guerre, surement réelle. Tout est une question de point de vue. Pour certain, ce qu’il fait est bien, alors que pour d’autres c’est mal. Lui, se fiche que ce soit bien ou mal, il se fiche du regard des gens. Il fait simplement ce qu’il croit juste.
- Le feu qui semble éteint, souvent, dort sous la cendre.Tel est son passé, la mort de sa femme n’est pas le réelle commencement de ses tourment. Elle n’à fait que les réveiller.
Craig est né et à vécu dans une famille riche, très riche. Il fit ses premiers pas dans un château près de Londres. Il apprit à faire du vélo sur les cotes anglaises dans le parc de la villa. Il organisa sa première fête dans les mers des caraïbes sur son yacht. Bref ! La famine, les problèmes de logements, des parents se tuant à la tache, la douleur du travail il ne connaît pas. Vous me direz, qu’il n’y à rien le poussant à devenir fou.
Mais tandis que lui s’intéressait à la littérature et à l’anatomie humaine, son père le forçait à pratiqué l’escrime, l’équitation, la chasse. Son père était extrêmement strict, si Craig ratait la moindre chose lors de ses entrainements, le jeune héritier pouvait être sur d’en payer le prix.
Sa mère par contre était adorable avec lui et s’interposait souvent entre lui et l’homme brutal qui lui servait de père. Et un jour, sa mère finit à l’hôpital.
- Les conséquences de la colère sont beaucoup plus graves que ces causesCraig en est le principal exemple.
Pendant que sa mère récupérait dans sa chambre d’hôpital. Craig, lui, s’entrainait à épée réel avec son père. Le jeune homme avait 18ans, cela faisait plus de 8ans qu’il s’entrainait chaque jour et pour la première fois il s’entrainait avec de véritables épées. Ce fut une chance inuit pour lui, une chance de se débarrasser de celui qui le tourmenter depuis tant de temps. Il suffit d’une seule ouverture du père, et le coup fut fatal, meurtrier, radical…
- Ce que nous appelons le commencement est souvent la fin. La fin c’est l’endroit d’où nous partons.
FIN !