Destinée...Lucie

Nom : Barnet//von Einzbern

Prénom: Lucie//Bremiard

Age: 14 ans// 67 ans

Sexe: Féminin// Masculin

Alignement: Neutre

Origine : Terrienne//Vesperien

Rôle: Contractor

Pouvoir:
Télépathie (lecture et contrôle des pensées)
Manipulation des souvenirs

Niveau d'Union: Union complète

Armes : Aucune

Localisation: Quelque part sur Terre

Caractère: L'Obsevateur est l'Union des caractère de Lucie et de Bremiard, elle est devenue une jeune fille très mûre et sage, elle est srtout trop réaliste. Les grandes notions ne sont pas grands choses à son égard, en fait il serait juste de dire qu'elle n'a pas la volonté de vivre, pourtant la volonté de mourir ne l'atteint pas non plus, elle cherche simplement à échapper à toutes les souffrances, celles qu'elle a subie, celles qu'elle subit en pénétrant l'esprit des gens et celles qu'elle continuera à subir. Sa seule volonté est de vivre normalement, mais aujourd'hui elle est bien consciente que c'est impossible, elle n'agit pas vraiment par interêt, mais n'agit pas non plus pour les autres, Lucie possède une personnalité assez énigmatique. Pour le moment, la seule chose la maintenant en vie et cette question, qui forme l'essence du pacte qu'elle a fait.
Lorsqu'elle parle, il ne semble ressortir aucune émotion de ses mots, depuis qu'elle a fait ce pacte, elle n'a plus jamais souri, non, c'était une blessure plus ancienne, continuellement renouvelée par son don.
Mais depuis qu'elle est isolée, son moral reprend des forces, pett à petit.

Physique:

Des pupilles émeraude et des cheveux d'or. 1m42, un poids aux environs de la trentaine, Lucie est svelte, bien qu'elle puisse manger pour 10, cela dépend de son humeur, humeur qui est très souvent au plus bas. Et quand elle ne se sent pas bien, elle ne mange pas, ou peu. Les vêtements qu'elle porte sont les mêmes depuis un ou deux mois, comme elle ne peut plus vivre parmis ses pairs. Quand bien même elle s'occupe d'elle-même, avec ce qu'elle peut, depuis qu'elle est seule, ce qui est paradoxale pur un Contractor.
Lucie ne sourit jamais, le dernier sourire qu'elle a montré date de la mort de ses parents.

Histoire:


On ne peut trouver l’espoir que dans le désespoir,comme on ne trouve le mensonge que dans la vérité.
Le mensonge existe pour cacher une vérité, c’est pourquoi la vérité…n’existe que dans les ténèbres. Recouverte par le mensonge, dans les plus grandes profondeurs de l’âme.
« Je n’ai jamais rencontré une personne n’ayant point menti. »
Pourquoi? Un mensonge est préférable à la vérité, parce qu’un mensonge n’est jamais douloureux qu’au moment où il devient vérité.
« Mentir, c’est changer la vérité. »
Un mensonge se développe, et finit par devenir la Vérité elle-même.
« C’est ça, un humain. »
J’ai le pouvoir de révéler la vérité, le pouvoir de la comprendre, et…le pouvoir de la changer.
Je suis…l’Observateur.


Je crois que je dois commencer par le début, je suis née 14 ans de cela, ma mère m'a donné le prénom de Lucie et le nom Barnet. J'ai grandie dans une famille modeste, sans importance. Ma mère s'occupait seule de moi, c'était assez difficile pour elle mais elle le supportait, plus que tout, elle était forte, mais stupide et possédait une volonté bien supérieur à celle des autres, un trait de caractère que je crains de ne point avoir héritée.
La vie poursuivait son cours, une vie horrible, inconcevable à la plupart des personnes, mais c'était devenu une routine. Comme vous l'avez deviné, ma mère et morte, non, je l'ai tuée. C'était il y a quelques mois, peu après que je devienne ce que je suis. Un monstre capricieux, maitre d'un pouvoir incontrolable. J'ai rencontré un homme, le terme de vieillard serait plus approprié. Il était sage et intelligent, j'étais jeune et naive. C'était un homme, j'étais une femme. Une paire parfaite.
Notre pacte...consistait en une question, enfin cela n'a que peu d'importance aujourd'hui. Je l'ai rencontré pendant un rêve, en y repensant,j'étais déjà très perturbée à cette époque, bien moins qu'aujourd'hui cependant. Probablement parce que j'avais déjà réalité combien l'homme et un être misérable. Comme lui l'avait réalisé avant moi.
En résumé, j'ai tué mon père, mon oncle, et ma mère. Sans aucune pitié, pour être franche, c'est la dernière fois que je me sentîmes humaine, oui, la haine et le meurtre de ses semblables est typiquement humain après tout.
Après ces meurtres, j'ai quitté la ville, pour me réfugier quelque part où mon pouvoir cesserait de me suivre.
Ah oui, mon pouvoir. Une malédiction, la capacité de connaitre les pensées de toutes les personnes que je côtoie. Au début, c'était assez fascinant. Mais aussi très effrayant. Au fur et à mesure, ce pouvoir a grandi, et il est devenu la malédiction qu'il est aujourd'hui. Un pouvoir dévoreur de pensées, oui, je n'ai plus le temps pour de telles futilité, le sommeil m'a quitté, même aujourd'hui, loin de toutes ces voix, elles me persécutent, et me reviennent en mémoire. J'ai déjà manipulé mes souvenirs, je le sais car lorsque j'ai voulu le refaire, cela a échoué, c'est un pouvoir a utilisation unique...alors...comment puis-je savoir si mes souvenirs sont réels?


Si vous deviez définir l'humanité en un mot, quel serait-il? Je pense...que le mot "Mensonge" conviendrait bien. Alors commençons, j'étais autrefois le Haut-Prêtre de Mediana, le prêtre qui dirigeait l'assemblée, mon pouvoir était presque aussi élevée que celui du Roi. Je me contentais de prôner la parole de notre Dieu. Et...j'ai rencontré une jeune fille une enfant avec un passé bien plus sombre que le mien, moi de 50 ans son ainé. Je me suis rapidement attaché à elle, elle avait un coeur pur, et une volonté bien plus grande que ne serait jamais la mienne. Rien d'étonnant à ce que ce soit moi qui ai basculé dans son monde et non l'inverse. Nous nous parlâmes, longtemps, j'étais son seul ami. Que de gâchis pour un vieillard comme moi que d'être l'ami d'une si belle jeune fille. Mais son esprit était plus élevé que ceux de la plupart des adultes. Elle avait une telle aptitude a percer les comportements humains...ce n'était pas seulement dû à son pouvoir, c'était en elle.
Ces discussions que nous eûmes, ces pensées que nous virent, elle encore plus que moi. Nous ont conforté dans notre idée. L'humanité était fondamentalement mauvaise. Mais elle avait choisi de se dissimuler sous un masque appelé société, une façon bien stéréotypé de se comporter.
Mais, Lucie n'était pas la seule chose que j'aimais en ce monde, j'y ai aussi découvert nombres d'idées nouvelles, des philosophes et de nombreux écrivains, des religions et d'autres cultes. C'était fantastique. Mais de plus en plus, nous nous sommes rapprochés, cela avait pris quelques semaines, et nous nous sommes unis. Et ce fut le début d'une longue et profonde descente aux Enfers.


La tête entre ses mains, la jeune fille titubait à travers la rue.

"Qu'est-ce que je vais faire à manger ce soir?" "Pourquoi le ciel est bleu?" "Oh, je sens qu'à la soirée ça va donner!!" "Ca fais du bien de se promener..." "Roh faut que je trouve un moyen de plaquer ce gars sérieux il craint..."

-Non...arrêtez...

Ele s'appuya contre un mur, il faisait encore jour mais c'était la fin de la journée, les voix continuaient, encore et encore, sans s'arrêter...finalement elle s'asseya dans la rue.

"Qu'est-ce qu'elle a cette fille?" "Elle a perdu ses parents?" "Elle a pas l'air d'aller bien" "Mieux vaut l'ignorer." "Elle veut attirer l'attention ou quoi?" "Ooooh encore une folle!" "Mais où on leur fait leur éducation aux jeunes de nos jours?" "Peut-être qu'elle a besoin d'aide?" "Elle est plutôt mignonne.""Tiens bon Lucie..."

-Calme toi Lucie, tu dois t'habituer à ce pouvoir.
-Non...c'est trop dur...

L'être immatériel à ses côtés s'appelait un contractant, le sien, leur confiance était très forte, probablement parce qu'ils étaient tout deux solitaires, le don de télépathie devait aussi jouer un grand rôle là dedans. A ce niveau, le pouvoir de Lucie avait une porté de dix mètres, mais cela était plus que suffisant pour l'empecher de vivre "normalement", voilà pourquoi Bremiard la faisait sortir, pour tenter de s'habituer à son don.

***

Elle avait changé. Elle-même avait du mal à l'admettre, mais elle avait changée, son pouvoir lui avait rappelé ce qu'était la souffrance, elle qui avait toujours baissé les yeux et encaissé le choc, s'était décidée à faire cesser ces choses là.

-Non.
-Quoi? Parles plus fort je ne t'ai pas entendu...

L'homme approcha son visage du sien, tentant d'imposer un regard menaçant, comme toujours, il puait l'acool. Bremiard ne pouvait qu'éprouver de la pitié pour lui, mais son pouvoir était inefficace, il l'avait déjà utilisé, en effacant sa mémoire, mais de quelques jours seulement.

-J'ai dit Non!

Un fort choc, la jeune contractante tomba à terre, la force qu'il détenait et dont il se servait sur elle...depuis si longtemps...elle le savait, elle avait lu dans ses pensées qu'elle serait frappée. Mais elle ne pouvait s'arreter maintenant, quoi qu'il en coûte, ele voulait se dresser contre lui.

-Je vais te...
-...Punir?
-Oui et tu vas...
-...Souffrir?
-Geu...La ferme! Tu...
-...Te crois maligne?

Elle avait dépassé les bornes, en un éclair il se trouva sur elle, immobilisant ces bras si frêles de ses mains puissantes. Il était militaire, maitriser une jeune fille d'à peine 14 ans était une chose anodine pour lui. D'un geste fort il cassa le poignet droit de l'enfant, puis les saisi de sa main gauche, dans le but de libérer son autre main.

-Nous y voilà Lucie. Passons aux choses sérieuses.
-Sérieuses?
-Ce petit rituel...tu n'as pas oublié non?

Sans s'en rendre compte, des larmes coulaient des yeux de la jeune fille...elle croyait s'y être habitué mais...mais pour une obscure raison...ces milliers de pensées qu'elles subissaient chaque jour, n'étaient rien comparées aux seules idées de cet homme, sa main frolait le corps de la jeune fille, jusqu'à s'arrêter vers son but.
Et, devant toute cette scène, il y avait Bremiard, pour la première fois des pensées impurs traversaient son esprit, il voulait tuer.
Etait-ce cette haine qui le traversait, ou bien l'image de celle qu'il considérait comme sa petite-fille, souffrant à ce point? Quoiqu'il en soit, cette nuit là, une lumière apparue, et plus étonnant, de cette lumière surgit un corps. L'agresseur puisqu'il faut l'appeler ainsi n'y preta guère atention, l'alcool, un éclair peut-être? Il trouvait bien plus intéressant de continuer son acte, il déplacait sa main en s'extasiant des cris de détresse de sa proie, mais, subitement, il s'arreta, quel était ce visage?

-On abandonne dé...

Il n'eut pas le temps de poursuivre, un grand choc se fit sentir, son dos, un homme assez agé venait d'apparaitre derrière lui et de le frapper avec une lampe.

-T'es qui toi?

Il n'eut pas le temps de dire autre chose, il avait laché la prise sur les bras de la jeune fille, qui put se saisir du poignard de son agresseur de sa main gauche, et le planta dans le ventre, une fois, puis deux, avant de le repousser hors de son corps. Des cris de souffrance, de colère, mélé à quelque honte...un couteau ensanglanté toujours dans sa main, Lucie fixa l'homme qui gisait devant elle. Et sans plus de reflexion, elle plongea la lame dans son corps, à plusieurs reprises, encore et encore...

-Souffrance? Tu n'as même pas idée! De ce que c'est! De souffrir! Tout ça! Tout ça!!! Meurs! Meurs!! MEURS!!!

Ses yeux avaient changés, il n'y avait plus une once de pitié en eux, il allait juste mourir, elle allait le tuer, un nombre incommensurable de fois, avant d'être stoppé par son contractant, d'abord ébahit par la scène, ses propres mains commençaient à saigner.

***

Deux jours plus tard, la colère qui s'était emparée d'elle avait disparue, et elle avait pris conscience de ses actes, le corps de l'homme qu'elle avait tué était toujours à sa place, dans sa chambre. Elle avait regagné sa maison et n'était plus sortie depuis lors, ses parents revenaient aujourd'hui. Malgré le fait que Bremiard lui répetait de quitter la ville, elle ne voulait, non ne pouvait le faire. Elle avait eu de la chance que la police ne retrouve pas le corps de celui à qui elle avait été confiée.
Maintenant, l'heure du spectacle sonnait.

[HRP: Si vous avez été choqués par le premier post, ne lisez surtout pas le second.]

-Oh, Lucie, comment vas-tu?

Le père de la jeune fille la regarda d'un regard assez étrange en soi, mêlant une certaine forme d'envie à de l'amour, la personne à ses côtés fut tout de suite oubliée. Sa mère la fixait d'un regard haineux, et même une non-télépathe savait ce qu'elle ressentait à ce moment précis.

"Pourquoi est-elle là? Pouquoi toujours elle?"

-Ah oui, où est ton oncle?
-Chez lui.
-Et comment va t-il?

Il s'était encore rapproché, l'hérédité cache parfois d'étranges secrets, le frère de son père, son oncle donc avait la même habitude.

-Il est mort.

Les regards se braquèrent sur les yeux de la jeune fille, elle venait de dire cela sur un ton calme, indifférent. Il faut préciser une chose, les parents biologiques de la jeune fille l'avaient abandonnée, et c'est cette famille qui l'a recueillis, lorsqu'elle était encore un bébé, le seul lien la liant à ces êtres était donc sentimntale, et cela fait bien longtemps qu'elle l'avait perdu.

-Que...que dis-tu?
-Je l'ai tué, maintenant, j'aimerai ton avis, qui pourrais-je haïr plus que lui?

Elle dit cela en sortant le couteau toujours taché du sang de celui qui se disait son oncle, et souris à l'intention de l'homme lui faisant face.

-Qu'en penses-tu? Papa.

Elle lui fit un autre sourire, la porte se ferma et Bremiard se tenait derrière eux. Ce rictus qui persistait sur son visage, ce n'était pas un sourire, pas dans le sens jovial du terme du moins. La chose étonnante dans tout cela, était la réaction des parents, comme s'ils n'avaient jamais imaginé qu'elle pourrait un jour se rebeller, le père commença à réagir, ah, trop tard. Un couteau vint se planter das l'épaule droite, toujours de sa seule main gauche, son poignet droit étant toujours douloureux. Puis un deuxième, et un troisime coup, il s'écroula, agoniant au sol avec une unique question.

-Ce qui se passe? C'est plutôt évident non?

Et il y avait une personne qui ne comprenait pas, elle resta figée, sans réagir, elle qui avait toujours maudit cette enfant, voyait qu'elle avait raison de l'avoir fait. Elle fut assomée par derrière, et commença alors une intéressante discussion entre Lucie et l'objet de ses souffrances n°1. Son père.

-Rassures toi, je ne vais pas t'achever, tu dois souffrir un peu d'abord. J'ai toujours eu un étrange pressentiment lorsque je te voyais, tu n'étais pas souvent à la maison, tu es simplement revenu de temps en temps, d'une année à l'autre, pour voir comment je me portais, laisse moi deviner, un jour me voir ne t'as plus suffit c'est ça? Humm...c'était il y a 4 ans non?
-Ar...eur...

Pour le dire en termes simples, l'homme en face d'elle se vidat de son sang, il volait parler mais le sang s'accumulait ax mauvais endroits, et il lu ifallait u neffort surhumain pour respirer. Mais même dans cette situation, il pensait, et Lucie ne manquait rien de sa souffrance, de ses questionnements.

-Ah, je ne te l'ai pas dit, je peux lire dans les pensées. Et cet homme là bas, il peux voir dans les souvenirs, c'est comme ça que je sais tout sur toi. Tout.

Elle sourit à nouveau, un sourire plus sadique que le précédent, avoi cet homme à sa merci était comme un rêve. Et dans cette maison, ele oubliait le calvaire de lecture des pensées, pensées qui venaient encombrer son esprit. Car même de là, elle entendait les voix des voisins et de quelques passants. La portée de son pouvoir avait augmentée, deux jours avant.

-Résumons ensemble, mère et toi m'avaient adopté, mais tu es parti quelques temps après elle m'a élevée seule, tu avait du t'en lasser non? Mais tu es revenu de temps en temps, pour me voir moi, et il y a 4 ans, tu en as eu assez d'attendre, ah je me souvins encore de comment tu me l'as annoncé.

Tandis qu'elle paralit, Lucie faisait tourner la lame plantée dans le ventre de son père, il criait, et ses pensées étaient...

-Arrêter? On commence à peine à s'amuser! Donc je disais...ah oui, la façon dont tu me l'as annoncé, attends c'était..."Chérie, Papa a besoin que tu fasses quelque chose pour lui". C'était marrant non? Hein? Hein? De violer ta fille!

Un dernier son, son père venait de sombrer dans l'inconscience...quel bon à rien. Il n'avait même pas attendu la fin de l'histoire, bah, elle le réveillerait plus tard, s'il survit.
Lucie, sus les eux de son contractant toujours ébahit par la violence de la scène, alla se laver les mains et rapporta un pichet d'eau pour réveiller sa mère.

-Lucie...
-Je n'arreterai pas. Et puis je sais que tu souhaites leur mort aussi.
-Mais comme ça...
-Tu veux qu'ils partent en paix? Sans souffrir? Après ce qu'ils m'ont faits!

Il savait que c'était mal, celui qui dirigeait autre fois parmis les prêtres de Mediana, avait longtemps prêché ce genre de chose, mais il savait aussi qu'il ne l'arrêterait pas, la seule chose qu'il voulait faire, était inutile.

-Tu n'y peux rien, n'interviens pas.

En vérité, lui aussi désirait les tuer, les voir souffrir...mais il ne supportait pas de voir Lucie le faire...
Une vague d'eau déferla sur la femme allongée au sol, deux-trois claquements de doigts pour la réveiller, elle reprenait conscience.

-Bon retour parmis nous, Maman.

Un autre sourire, la femme tenta de reculer à la vue de l'arme ensanglantée, mais avant qu'elle n'eut le loisir d'executer ses pensées, le couteau vint se planter sur le dos de sa main, la fiixant au sol.
Un cri.

-Non, il ne faut pas penser à s'échapper ainsi voyons, alors qu'est-ce qu'on fait? On discute? Oui on discute.
-Laisse moi partir! Lucie! Tu es ma fille!
-Première nouvelle, alors tu me considère comme ta fille maintenant? C'est intéressant.
-Laisse...laisse-moi partir! Laisse moi partir!

Une gifle. Donnée par Lucie à sa mère, elle avait pris les devants encore une fois.

-Comme c'est nostalgique, te rappeles-tu la première fois où tu m'as frappée? C'était...il y a 3 ans ...j'avais enfin trouvé le courage de parler à quelqu'un, de ce qe me faisait papa.
-...
-Je t'avais parlé de toutes les choses bizarres qu'il me faisait, je me suis mise à pleurer, et tu peux te souvenir de ce que tu as fait?
-Euh...je...
-Tu m'as frappée, tu étais déjà au courant, et la seule chose que tu as trouvé à faire c'est me frapper et me dire "Ne t'approches plus de lui!".

Depuis que tu es là, il m'a oubliée. C'était ses mots précis, entre deux baffes. L'atmosphère avait changée, le film d'horreur passait de la violence à l'horreur de la folie, de l'amour et de cette jalousie qui perdurait en elle.

-Tu...tu me l'as volé! TOI! Il ne s'interessait qu'à toi! Pas à moi! Tu m'as trahie! Ma propre fille!
-Je me demande...qui a trahie l'autre? C'étai une erreur...la seule personne en qui j'avais confiance...tu as juste fermé les yeux et refusé de voir la vérité! Tu es restée emprisonnéedans ton rêve! Et quand je l'ai finalement brisé ce our là, tu as reporté toutes les fautes sur moi! TA FILLE!
-C'est faux!
-C'est vrai et tu le sais, les choses ont même du commençaient à s'améliorer le jour où son frère est arrivé hein? Tu avais plus de temps avec papa puisque lui était MOI! HEIN?

Une folie, une incroyable folie meurtrière venait de s'emparer d'elle, mais ce qu'elle disait était la vérité, elle le savait, la télépathie ne ment pas. Lucie plaça ses mains autour du cou de sa mère, et commença à l'étouffer, celle-ci avait toujours le couteau planté dans sa main droite.

-Meurs. Meurs simplement! Et fais disparaitre tes mensonges avec toi!
-Lucie!

***

Les mois passèrent, le pouvoir de l'Observateur était arrivé à son paroxysme, et les deux entités composant le Contractor fusionnèrent. Lucie était devenue son contractant, et vice-versa. Mais l'esprit de Lucie était en grande partie présent, L'Union avait basculé du côté du dominant, chose normale. Et ses pouvoirs avaient consdérablement augmentés, Bremiard pouvait maintenant non seulement effacer des souvenirs, mais également en créer de faux, Lucie quant à elle, pouvait manipuler les pensées, probablement le plus puissant des pouvoirs, qui allait jusqu'à des points inimaginables, mais, le rayon dans lequel elle pouvait percevoir les pensées, avait lui aussi augmenté. Il était passé d'une vingtaines de mètres à presque une centaine, elle avait du quitter la ville, et fuir tout lieu peuplé. Pour qu'une telle tragédie ne se reproduise plus.

"La vie est étrange" "Rends moi mes jouets!" "Ah combien de fois t'ai-je dit de baisser la cuvette des toilette" "Maman, Paa va bientôt rentrer?" "C'est assz! Je demande le divorce!" "Parfois je me demande si mourir ne serait pas la meilleure chose à faire..." "Lachez-moi! Aidez-moi!" "Oh, c'est un joli dessin que tu as là..."

Un petit village, ne dépassant pas le millier d'habitants, mais c'était encore trop, plusieurs dizaines de personnes étaient présentes dans le rayon de la télépathe, à la frontière de la folie et de l'inconscience.
Elle était assisse dehors, sous la pluie, la tête entre les mains, tout ce qu'elle espérait c'était que ces gens s'éloignent du cercle, ou s'endorment, tout pourvu que cela cesse.

-La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!La ferme!LA FERME!

Presque à bout de nerfs, ces voix ne lui laissaient aucun répit, elle voulait juste être seule...et cette nuit allait encore plus contre ce souhait, une personne la remarqua et fit appeler des secours, la police, c'était trop, trop de personnes...trop proches...elle fixa toutes les personnes l'observant, et lança un dernier appel au secours.

-TAISEZ VOUS!!! ARRETEZ DE PENSER!!!

Sans s'en rendre compte, elle manipula leurs pensées, le cri qu'elle poussa fut suivi d'un silence, c'était la première fois qu'elle assitait à un de ces silences. Et, cinq personnes tombèrent, puis deux autres, inconscients, et tous pour diférentes raisons. Ebahie devant ce spectacle, L'Observateur quitta les lieux, en lançant un dernier ordre, qui n'était en fait que son second pouvoir.

"Oubliez tout ce qui me concerne!!"

Comment avait-elle trouvé laforce de se lever? Appelons cela l'instinct ou bien la peur.
Lucie s'installa dans une montagne, enfin dans de hautes collines, une sorte de maquis, son pouvoir avait évolué bien au delà des limites de l'acceptable, un pouvoir pemettant un controle absolu, si elle leur ordonner de se suicider, le feraient-ils? Probablement. Mais elle ne voulait pas de cela, elle voulait juste un retour à une vie normale, mais voyant cela impossible, maintenant elle ne souhaitait plus que la solitude.

[HRP: Fini.]

Validée! Manque plus que le Messager et tous les postes prédéfinis seront au point^^

Bienvenue à toi, Observateur.

(Dans le genre histoir traumatisante, c'est ce qui s'appelle faire fort.)

Je te souhaite à mon tour la bienvenue !

Je vois que tu nous as pondu une histoire bien glauque.
Par contre, moi, ça ne m'a pas traumatisé un seul petit chouilla. Je trouve que Lucie a juste pété un plomb à cause de toutes les horreurs qu'elle a vécu.
En fait, son histoire est très plausible, si on enlève l'histoire de contractant, évidemment XD

Bref, content de t'avoir avec nous ^^

Re-bienvenue! =)
Jolie histoire, non, joli style d'écriture.

Amuse-toi bien sur LPR!

Bienvenue

Très belle histoire, on ne s'ennuie pas un instant... (moi sadique ? naaaan, jamais xD)
Bon dommage qu'on ne puisse pas se rencontrer dans le Rp, mais c'est pas grave ^^'

Merci! Mais...euh...reste plus grand monde avec qui Rp là xd.

Pour te répondre, Lucie :
Je viens de voir qu'alex veut que nous partions à la recherche de plein d'autres contractants !

Alors en gros, si le hasard fait bien les choses, Alex ou moi pourrions te croiser dans peu de temps, non ? ^^