Lord Xena Byron Wight [membre de l'OCCC]

Les corrections apportées (grace à mon amour d'Alex xD) sont en jaune =)





Nom : (Lord) Wight

Prénom : Xena Byron, pour plus de commodités Xena

Âge : 20 ans, y a pas d’âge pour devenir maître du monde

Sexe : masculin, quoi qu’il puisse aisément se faire passer pour une fille

Alignement : bon, forcément, car tout ce que fait Ral, par définition, est bon… non ?

Origine : Terrienne

Role : Rejeté

Pouvoir : geler l'eau par contact (sachant que le corps humain est composé à 65%... de jolies statues risquent de pousser dans ses jardins *__*), pratique s'il veut se reconvertir dans la construction de patinoires ou faire de la sculpture, soit dit en passant : il ne l’utilise que dans des cas de force majeur ou pour les beaux yeux de son employeur

Armes : considérez que son existence même est un danger… tout ce qui lui passe sous la main (de la serpillière au bazooka)

Localisation : Terre, Etats-Unis, près de son bien aimé Ral

Extrait (perdu au fin fond de la forêt Equatoriale après avoir servi de papier hygiénique à quelques indigènes) du profil établi par un célèbre psychologue ayant eut le loisir d’observer le cas de Xena Byron Wight (décédé) :

« Il est important de noter, en premier lieu, que définir une personnalité en quelques lignes est une mission presque vaine. Ceux qui prétendent pouvoir donner en un mot l’entière définition d’un être sont des inconscients. Néanmoins, il est tout aussi nécessaire de mettre certaines choses sur le papier, et ces quelques lignes me paraissent indispensables dans la mesure où Lord Xena Byron Wight est une véritable menace pour la société actuelle.

Nous commencerons par ce qui semble être le plus évident. Issu d’un milieu élevé, héritier direct de la totalité du patrimoine Wight, et bel apollon de surcroît, le jeune homme a tout pour être de ceux à l’attitude hautaine et froide vis-à-vis de toute personne dépourvue de titre ou d’héritage conséquent. Et il l’est. Autant ajouter, dès à présent, qu’il peut faire preuve d’un mépris cinglant à l’égard d’un homme simple tout comme servir de mielleuses paroles à l’adresse d’un autre nobliau. Difficile de savoir s’il pense ce qu’il dit, ou s’il dit ce qu’il pense, car les jeunes hommes de son genre, on le sait pertinemment, sont si bien entraînés qu’ils pourraient embobiner le plus fin psychologue et embrouiller le meilleur des détecteurs de mensonges. Quoi qu’il en soit, Wight peut être un sacré manipulateur pour défendre ses intérêts tout comme un véritable sadique fier de l’être.

Sur cette même lignée, je continuerai par préciser que l’âme du jeune homme est aussi froide que la glace. Il n’a pas de point d’attache auquel il tienne, pas vraiment d’amis au sens propre du terme. Une nouvelle fois, je pense que cela découle naturellement de l’éducation dispensée aux petits aristocrates. Tout est tellement calculé, maîtrisé, dans leur monde, qu’ils en oublient de vivre simplement. Wight ne sait pas aimer. Wight ne sait pas être heureux. Wight ne sait pas être triste. En quelque sorte, c’est un véritable robot. Il y a toujours une distance entre lui-même et son entourage. Bien sûr, celle-ci est, pour la plupart du temps, cachée pour plus de commodités.

Il serait cependant inexact de prétendre que le jeune homme n’a de sentiments, il s’agit tout de même d’un être humain, en dépit de tout ce que nous avons dit précédemment. Et c’est d’ailleurs plutôt cet aspect de sa personnalité qui est inquiétant. Nous partirons tout d’abord sur une note un peu plus joyeuse. L’histoire a montré que Wight était doté d’une certaine empathie. Car, bien que comédien aguerri, quelques circonstances laissent tout de même penser qu’il fut sujet aux pulsions amicales. Elles sont rares et doivent se compter sur les doigts des mains. Mais combien intenses, si l’on en croit les faits relatés ! En effet, il semblerait que le nobliau soit capable d’un dévouement sans bornes à l’égard de la personne ayant le privilège d’avoir atteint son cœur. Difficile de savoir comment y parvenir, tout comme il semble que ce ne soit guère une si bonne idée que ça. En premier lieu, parce que cela dévoile une facette si candide et si infantile qu’elle en est dérangeante, et surtout, parce qu’il apparaît que les élus de son âme ne survivent pas longtemps.

Je vais maintenant m’aventurer un peu plus loin, sur un terrain un peu plus glissant. Ca n’est peut-être pas très prudent, mais tout ce qu’il y a de plus raisonnable. Xena Byron Wight est aussi soumis à d’autres sentiments, bien plus violents, bien plus meurtriers. J’ai bien essayé d’accéder à son dossier médical mais, soit il est inexistant, soit aussi bien protégé qu’un secret d’Etat. D’après les évènements relatés par le… »

[…]

« … des problèmes de consanguinité pourraient être à l’origine de cette folie sanguinaire. Des impulsions animales, ou plutôt bestiales, animées par quelques tendances démentielles, par définition incontrôlables et sans doutes non entièrement refoulées, conduisant la personne de Wight à… »

[…]

« … pas de preuves véritables. N’oublions pas que le sujet étudié dispose lui-même d’un savoir considérable et non négligeable. Mais je suis persuadé des agissements immoraux, morbides et funestes de Wight. »

[…]

« … rien qu’une multitude de facettes rendant difficile l’appréhension de son caractère. Une girouette, un comédien, quoi qu’il en soit, je ne suis certain que d’une seule chose : cet homme est un des moins cernable, il a la profondeur des abysses, et sans doutes l’esprit aussi noir.

Quant à savoir quels sont ses penchants sexuels, c’est encore une question qui, non seulement est indiscrète, mais en plus se doit de rester en suspens. Il est assez courant de noter la présence de Wight aux soirées mondaines de grand prestige, et coutumier de le voir aussi bien en compagnie des femmes magnifiques que d’hommes tout ce qu’il y a de plus séduisant. Il semble cependant qu’il ne soit d’aucuns bords. Par ailleurs, les meurtres que je le soupçonne fortement d’avoir perpétrés ne démontrent aucuns penchants particuliers de sa libido. Aucun People n’a, non plus, mentionné une quelconque personne de la haute avec laquelle Wight aurait pu sortir.

La discrétion. Malgré tout l’enthousiasme et le tapage dont il paraîtrait qu’il puisse faire preuve lorsqu’il le désir, ou lorsqu’il est en proie à sa facette puérile, le jeune homme est généralement d’une retenue calculée, évidemment. Il prend bien plus volontiers le rôle de manipulateur de l’ombre que celui de pantin sur le devant de la scène, tout comme il préfère sans aucuns doutes interroger que de parler de lui-même. La réserve va généralement avec la timidité, qui ne me semble pas être ici légitime, ou avec un sens de l’observation avide de savoir. Il semblerait plutôt que Wight apprécie analyser tout ce qui l’entour, à moins que cela ne soit, de nouveau, que le résultat d’un formatage en tant que l’un des plus grands leaders du monde. Difficile de le surprendre et, même si cela peu paraître inconscient et risqué, l’aristocrate aime être surpris. Mettre ses méninges à l’épreuve doit le stimuler. Autre monde, autres règles du jeu. »

[…]

Description (perdue sur la toile du web) d’un acteur de renom ayant fréquenté Xena Byron Wight au cours de soirées mondaines :

« Lord Xena Byron Wight est une personne discrète mais d’un charisme certain. C’est le genre d’homme à savoir dévoiler sa présence seulement quand cela lui est nécessaire et à recadrer une conversation avec une seule phrase bien choisie et un regard profond, vecteur d’une rare prestance.
Pourtant, il faut bien avouer que le jeune aristocrate a de quoi attirer le regard de quiconque l’ayant dans son champ de vision. Elégant en toutes circonstances, il entretient un raffinement, en partie inné, plus qu’agréable à l’œil et mettant plaisamment en valeur ses gracieuses formes. Parfaitement androgyne, ou presque, il pourrait aisément se faire passer pour une jeune fille. Même les couleurs criardes, kitch, délavées, trouvent une raison d’être lorsqu’il les porte. Je crois que sa garde-robe est uniquement composée de grandes marques de couturiers, Français pour la plupart. Il me semble d’ailleurs qu’il a participé à quelques défilés et photos magasines, en tant que modèle bien sûr. Il faut avouer qu’il a le physique pour. Grand, près de 1m85 ce me semble, svelte et gracile, d’un teint de peau laiteux ou perlé, selon les saisons, s’il n’avait pas été aussi embarqué dans les affaires internationales de ce bas monde, il aurait pu se lancer dans le mannequinât.
Il faut ajouter à cela l’aura particulière qu’il dégage. Un mélange singulier de chaleur et de douceur mettant à l’aise, doublé, aussi étrangement que cela puisse être, d’une combinaison de froideur et de détachement dissuasive de toute tentative d’influence. D’autres jeunes gens que j’ai eu le loisir de côtoyer exhalaient de semblables halos, tous issus d’un milieu aisé et exigeant.
S’il n’avait reçu un tel héritage, je ne saurai dire si ses traits auraient eu autant de finesse. Mais pour ce que j’en sais, Wight n’utilise pas de produits de beauté particuliers, ni d’accessoires dans le but de mettre son corps en valeur. Ses pénétrants yeux bleu ciel, aussi vastes que la voûte céleste, aussi déconcertants que les cieux, il les aurait tout de même possédés. Ses cheveux blonds comme la paille auraient pu en avoir le toucher, au lieu de frôler avec légèreté et tendresse les contours délicats de son visage. Peut-être, peut-être pas. Quoi qu’il en soit, et même si cela peut parfois déplaire à certains, Xena Byron Wight, non seulement est jeune et séduisant, mais est aussi un véritable Apollon. A quand le concours Mister Univers chez la haute ? »

Extrait (perdu entre les pages d’un vieux Balzac abîmé près pour l’incinération) de la biographie à propos de Xena Byron Wight, essai d’un étudiant de l’université Anglaise Oxford Brookes (décédé) :

« Ceci n’est jamais qu’un essai, un ensemble de mots relatifs à l’histoire du peu connu Lord Xena Byron Wight, pourtant déjà si influent sur la société actuelle. Quelle firme ou multinationale n’a pas encore eu à traiter avec lui ? Quel domaine de la communauté Britannique, ou Russe, ne porte pas son empreinte, aussi furtive soit-elle ?
L’empire de la haute société est un amalgame de liens, de contrats, de mises en scènes et de scénarios en tous genres. L’empire de la haute société touche tout ce qui sur Terre, et peut-être même sur l’autre côté du miroir, existe. L’empire de la haute société a ses règles, et définit les notres.

Ebauche du parcours d’un homme prétendant au trône de cet empire.


• Hannah, les rivières glacées de Russie

Natif de Wales (Pays de Galles), en Grande-Bretagne, ce fils de noble et riche famille passa la majeure partie de son enfance en Europe de l’Est. Issu de ce que l’on pourrait appeler, plus communément, « la haute », il avait pour maison un majestueux manoir et comme compagnie une ribambelle de serviteurs dévoués corps et âme. Sa chambre pouvait rivaliser avec les plus grandes suites d’un palace et le service à sa disposition avec celui attribué à la reine d’Angleterre elle-même. Monsieur, dès sa tendre enfance, fut habitué à porter quotidiennement, et uniquement, des vêtements marqués Alain Manoukian, Brandalley, Pierre Cardin, Christian Dior, Givenchy, Jean-Paul Gaultier, Kenzo, Hermès, Gucci, Yves Saint-Laurent… et initié aux us et coutumes de son auguste milieu. Des simagrées les plus poussées aux manières seyant à la simple déférence, Xena Wight eut le loisir de peaufiner son attitude entièrement calculée tout le long des nombreuses soirées chics qui rythmèrent sa jeunesse.

Le domaine où le petit aristocrate passa les dix premières années de sa vie appartenait, à la vérité, à une famille Russe estimée par les Wight. De nombreux accords entre les deux dynasties avaient été établis à travers les ages, et à raison d’une fois tous les cinquante ans, l’un des rejetons de la lignée Galloise était placé, pour une durée plus ou moins longue, sous la tutelle de ces collaborateurs de l’Est. L’instruction était dispensée par des précepteurs de renom international, et jamais, au grand jamais, la descendance Britannique ne côtoya le bas peuple. On lui apprit le mépris, vis-à-vis de celui-ci, et surtout, surtout, on lui enseigna comment manipuler cette foule de d’insignifiants. Comment l’illusionner, comment l’influencer, comment la conditionner. Comment la détruire. Xena eut-il jamais des états d’âme à ce sujet ? Même si ce fut le cas, il ne le montra guère. Cela ressemblait plus à un jeu, pour lui, et les enfants aiment jouer. Et puis, il y avait Hannah.

Hannah était une des filles de la famille l’hébergeant. Hannah avait son age. Elle fut, sans aucuns doutes, la personne avec laquelle il passa le plus de temps. Elle partagea son éducation, ses premières soirées mondaines, ses premiers pas sur le devant de la scène, ses premières manipulations dans l’ombre. Elle devint, même, une des principales raisons de ses agissements. »

[…]

« Hannah fut retrouvée morte. Visiblement défenestrée. Pour la première fois, semble-t-il, Xena laissa couler des perles salées de ses yeux d’enfant. »

[…]

« Le jeune Wight quitta la Russie, emportant avec lui un bagage lourd en savoir.



• Ethan, les années folles d’Angleterre

De retour de l’Europe de l’Est, Xena fut placé dans un hôtel des quartiers chics de Londres, appartenant évidemment au patrimoine Wight. Là, il s’intéressa véritablement aux affaires personnelles de sa lignée et eut le loisir d’approfondir ses connaissances en la présence de professeurs des universités d’Oxford Brookes, de Manchester, de Nottingham, de la Royal Holloway et de Cambridge. On le conditionnait pour répondre aux exigences familiales, on le formatait pour échapper aux lois du simple bas peuple, on l’entraînait pour devenir un des mystificateurs du siècle. Sans relâches. La vie de Xena était un planning serré et astreignant ne souffrant aucune fantaisie. Ces années-là, l’enfant ne fréquenta toujours pas l’école publique. »

[…]

« Ethan Mary-Eather Wight, de 10 ans l’aînée de Xena, était la gérante des affaires familiales depuis la mort de leurs parents. L’art de donner un prénom masculin à une demoiselle et un prénom féminin à un petit garçon, le couple Wight, composé de Mary-Eather et Byron, ainsi donc les parents de Xena Byron et Ethan Mary-Eather, était aussi original dans son genre. Mary-Eather Wight, de son nom de jeune fille Green, avait suivi de brillantes années d’études à Paris, à la faculté de médecine Pierre et Marie Curie, pour finalement terminer docteur en chirurgie et reprendre l’hôpital St Thomas à Londres. Elle avait un œil sur la plupart des ONG anglo-saxonnes et participait à la plupart des réunions de l’ONU. De religion anglicane, elle étendait notamment sa sphère d’influence à l’Eglise, et mettait un point d’honneur à se soucier des relations culturelles dans le monde. Elle décéda alors que ses enfants avaient respectivement 14 et 4 ans. On retrouva son corps… »

[…]

« Lord Byron Wight, cadet de la lignée directe des Wight n’en reçu pas moins une part conséquente de l’héritage familial, ainsi qu’une éducation de forme. Il étudia notamment à la Chicago Graduate School of Business, située aux Etats-Unis d’Amérique, devenant ainsi professeur en sciences économiques et reprenant les commandes commerciales de General Electric. Fidèle à la tradition, il gagna sa place à la Chambre des Lord en Grande-Bretagne et assit considérablement l’autorité de la famille Wight. Peu après, il fit construire des casinos à Moscou, Dubaï et Osaka, puis devant le succès obtenu il en implanta encore à Cambera, Séoul et Singapour. Les accords notables qu’il passa durant cette période eurent la participation d’Exxon Mobil, BNP Paribas, China National Petroleum, Suez, Boeing, Siemens, Tesco et Assicurazioni Generali. Quelques informations font aussi penser que Byron Wight a aussi établi son marché dans la branche de la drogue et de… »

[…]

« Il décéda 6 années seulement après sa femme. Son assassinat fut revendiqué par une organisation éco-terroriste, relançant la polémique à ce sujet ainsi que les investigations des divers services fédéraux de police judiciaire et de renseignement intérieur. Quelques mois après le meurtre, le SISMI, soit le service d’intelligence Italien, fit main basse sur le groupe soupçonné d’avoir perpétré les derniers attentats. Ethan Mary-Eather Wight, ayant pris personnellement les choses en main, y trouva l’occasion en or d’étendre les tentacules de l’empire Wight aux services les plus protégés de l’Etat Méditerranéen. Petit à petit, la BND, la SASS, la GRU, le FSB, le Mossad, la DGSE, le SIS, le VEVAK, le SCRS, la CIA, la NSA et le FBI, n’eurent plus aucuns secrets pour l’entreprise Wight.

Tout en s’occupant efficacement des affaires de la famille, Ethan poursuivit ses études d’ingénieur à l’Imperial College London, située à Londres, en profitant pour passer un peu de temps avec son petit frère. D’après quelques sources, les rapports entre les deux héritiers directs étaient tout ce qu’il y avait de plus fraternel. Difficile de juger, surtout à partir de ce que l’on sait sur l’éducation des enfants de la haute et de ses conséquences. Néanmoins, il apparaît à tous ceux susceptibles d’avoir croisé leur route à cette époque que les liens liant Xena et Ethan étaient authentiques et honnêtes. Ce fut sans doutes à cette période que l’adolescent tira toutes les ultimes ficelles du métier. »

[…]

« Ainsi, le corps noirci par les flammes, l’état des lieux, les circonstances et l’autopsie, classa la mort d’Ethan dans les crémations. Elle avait visiblement été brûlée vive. »

[…]

« Seulement âgé de 13 ans, Xena reçu le lourd, et conséquent, fardeau, héritage de la dynastie directe des Wight.



• Ceferino, l’empire bleuté de la Sun Belt d’Amérique

Xena était doué. Il avait été durement formaté afin de prendre, un jour, les rênes de l’entreprise Wight. Ce jour arriva plus tôt que prévu, mais il était prêt. Il y a toujours à apprendre, mais tout le savoir qu’il avait accumulé tout au long de ses 13 années de vie, soit 4745 jours, soit 113880 heures, soit 6832800 minutes, soit 409968000 secondes, était absolument suffisant pour, au moins, faire survivre, voire prospérer, les affaires de sa famille. Cependant, les autres branches de la lignée estimèrent que l’expérience lui manquait et instaurèrent donc une régence jusqu’à sa majorité, selon la loi Britannique. Le comité des représentants Wight fut ainsi chargé du patrimoine de la branche directe et on envoya le jeune Xena à Los Angeles.

La direction de L.A. était sous la coupe de nombreux alliers politiques des Wight, et l’adolescent y fut reçu dignement, afin de mettre plus en pratique son érudition. Une sorte de SimCity grandeur nature. Durant plusieurs années, Xena participa à l’administration de la ville et forma son propre cercle d’influences. Il était jeune et charismatique, et surtout il était riche. »

[…]

« Des personnes l’auraient vu, seul, ce qui est loin d’être anodin, se promener à des heures tardives dans les rues de la L.A. »

[…]

« Fort heureusement, ou malheureusement, Xena s’en sortit indemne. En réalité, il n’est pas rare que les jeunes aristocrates aient des bases de self-défense, ou des notions de tir. Cela vaut mieux, généralement, si on veut vivre vieux dans ce milieu. »

[…]

« Elle n’aurait su dire depuis quand il se droguait, ou même si c’était la première fois. Il était bon comédien, et masquer ses prises de narcotiques n’était qu’un jeu de plus. »

[…]

« Quelqu’un l’aurait aperçu en compagnie du Ceferino. »

[…]

« Ceferino était Cubain d’origine, du moins à ce qu’il paraissait. Il vivait au Mexique, et dans le sud de l’Amérique, de Los Angeles à Miami. C’était le genre d’homme à ne jamais rester au même endroit, par mesure de prudence. Il voyageait illégalement et disposait d’un casier judiciaire assez rempli pour passer toutes ses réincarnations en prison. Ceferino, ou plus connu sous le pseudonyme de Cef, était dealer. Il distribuait assez de drogue quotidiennement pour s’offrir une villa aux Caraïbes avec serviteurs, mais son métier l’avait rendu plutôt paranoïaque et surtout accro. Il aimait vendre de la coke, du cannabis, de l’héroïne, de l’acide, de l’ecstasy, de l’opium et des space cakes. C’était sa vie. »

[…]

« Ceferino semblait aussi diriger la branche meurtrière du réseau de drogue. Il surveillait et planifiait les représailles envers ceux qui ne payaient pas, ou devenaient dangereux pour l’organisation. »

[…]

« Et si Xena avait trempé les pieds dans le business de l’assassina ? »

[…]

« Des petits bouts. Des petits bouts ensanglantés arrivèrent aux postes de police d’El Paso, sur une durée de sept jours. Des extrémités aux organes vitaux. La tête, en un bloc, en dernier. Selon les médecins légistes, tous les bouts appartenaient à la même personne. Selon eux, encore, ils n’auraient pas tous été débités le même jour, mais selon l’arrivage, jour après jour, méthodiquement. L’homme n’avait du succomber qu’au bout de quatre ou cinq jours. Ceferino et ses affaires étaient finalement partis en miettes. »

[…]

« Agé de 16 ans, Xena retourna de lui-même en Grande Bretagne où il négocia habilement le retrait de la régence mise en place par les autres membres de sa famille. Il devint le quatrième plus jeune leader Wight en l’espace de cinq décennies.




• …, les espoirs infondés de Vesperia »








[…]











« Xena était alors âgé de 18 ans. Peu après, il reçu le titre officiel de Lord, conséquence de son rang par le sang et sa majorité en années atteintes.



• Ral, les jours écarlates de la planète Terre

Contrairement à ses prédécesseurs, Lord Xena Byron Wight ne profita pas de sa majorité et de son expérience pour s’inscrire à l’université. Plus soucieux de relever les affaires familiales qui s’étaient un peu laissées aller, il concentra la majeure partie de ses efforts au redressement économique de l’entreprise Wight. Ainsi, arriva, petit à petit, l’apogée de la lignée Galloise. »

[…]

« Le jeune homme fut invité à signer d’importants contrats avec les hauts couturiers Français et posa en tant que modèle pour les marques Christian Dior, Jean-Paul Gaultier et même Chanel, grâce à son visage androgyne et la finesse de ses formes. L’équivalent d’un peu d’argent de poche pour monsieur. »

[…]

« Quelques mois après, Xena se lança enfin dans des études, de droit, en intégrant l’université de Washington. Parallèlement, il adhéra à un club, plutôt huppé, d’art en tous genres. »

[…]

« Certaines de ses nouvelles fréquentations avaient un pied chez l’OCCC. »

[…]

« L’OCCC, ou Organisation pour la Capture des Crustacés du Calvados, fut bâtie une dizaine de mois avant l’entrée de Xena à l’université, alors qu’il approchait de ses 20 ans. On ne sait pas vraiment qui est à sa tête, et si l’organisation n’est qu’un leurre pour détourner l’attention de L’espoir du Renouveau. Mais certains faits laissent penser que l’existence du groupe est bien véritable. »

[…]

Woaw, assez impressionnant de vue mais ça se lit assez vite
Pas mal l'histoire ! bien travaillé et pleine d'humour ^^

Par contre, je ne sais pas si l'OCCC et l'Espoir du Renouveau sont censés être autant connu (pour être dans un essai d'étudiant). Alex nous en dira plus.

La fin de l'histoire maintenant !

Bienv'nue !

Une fiche magnifique et particulière, comme toujours xD
C'est toujours aussi plaisant à lire

Bienvenue, mon petit subalterne !

Voici donc mon beau bras droit ^^
Tu sais déjà que je trouve ton histoire très originale et très bien...

Alors je n'attends plus qu'on puisse RP ensemble ! On ve se les faire, ces Contractors !
Par contre... Pourquoi le nom de l'OCCC est quelque peu stupide, là ?

Zéhyr, il me semble que l'histoire est finie... Donc il n'y a pas de fin.
C'est plus une ellipse qu'autre chose, en fait XD
Parce que je sais que je l'ai lu en entière, moi...
Et puis, l'OCCC et l'Espoir du Renouveau sont quand même inscrits dans l'histoire. L'homme qui raconte une partie de l'histoire est le chef de l'Espoir du Renouveau, quand même...
Quand à l'OCCC, elle n'existe que pour ceux qui sont curieux et qui posent des questions (comme moi !).
J'ai vu écrit "chef de l'OCCC" dans les persos prédéfinis, j'ai demandé qui c'était, et j'ai su ^^

Le nom est particulier parce qu'on a rien trouvé d'autre, avec Alex (enfin si, mais c'était encore plus débile xD)
-> falsification du nom pour montrer que l'organisation n'est pas si bien connue

Mais c'est vrai que, en posant les bonnes questions, en étant du bon milieu, en ayant les bonnes connaissances... on peut obtenir pas mal de choses, donc bon...
Mais ne nous charcutons pas trop les neurones dessus, ça n'est jamais qu'une présentation xD


Vos désirs sont des ordres, ô supérieur adoré *__*
Zigouillons les Contractors! Saignons-les, pendons-les, éventrons-les, électrocutons-les, noyons-les, étripons-les, décapitons-les... et plus si affinité uhuhuhuhuhuhuhuhuh
-> sort


Edit: merci pour l'accueil, au fait ^^'' et pour les compliments *__*
Edit2 (ahahah xD): heu oui, l'histoire est finie =)

Ah, je pensais qu'on aurait plus de détails sur la façons dont Xena est devenu Rejeté. Ca restera un mystère... qu'on élucidera bien assez tôt ! Mouahaha !

En tout cas j'ai bien hâte de voir tout ça en action !

Vaaaaaaalidé^^

Mince mais tu as vraiment mis cette histoire de crustacés du Calvados lol

En tout cas, bienvenue à notre cher Xena (Fye powaaaaa^^)

Youpii! xD

Je t'avais bien dit que tes idées étaient d'une grande aide ^^

(et oui, Fye powa :p)