Une journée ordinaire? noooon surment pas...

Terra avait plus de force quelle ne l’avait espéré… Elle aimait se sentir comme cela, se sentir forte, sentir une nouvelle force en elle, cela lui faisait repenser à son amie…
Elle baissa la tête, se rappelant le jour où elles se baladaient à peu près dans un endroit comme celui-ci… Un souvenir… Une image et HOP… Un trou noir…
Elle tomba au sol regardant les nuages blanc qui étaient au dessus de sa tête…
Elle se releva se voyant alors s’apitoyer sur son sort, ce que, entre parenthèse, elle détestait faire !
Elle regarda autour d’elle, rien…
Comme d’habitude, elle était seule, toujours seule, plus personnes, le vide, un trou, un trou noir… Une pensée… Un souvenir… Tout recommença pour revenir au trou noir, satané trou noir !
Elle haïssait ses satanés trous noirs qui apparaissaient de jour en jour… Il lui fallait plus de force, plus de pouvoirs !
Il fallait quelle trouve quelqu’un qui pourrais l’aider, l’aider à trouver quelqu’un… Nan… il fallait quelle se débrouille, plus personne, plus de confiance… Sa confiance n’était plus destiné à personne a part à elle-même !!!
Elle ne pouvait plus supporter cette solitude, en même temps elle l’adorait…
Tous ceci tait très étrange, elle ne voulait pas s’attacher à quelqu’un d’autre… Plus personne rester toujours seule !!

L'armée avançait encore et toujours à travers les plaines complètements vides de Phoenixia, il n'y avait dans ce pays que peu de villes et celles-ci avaient déjà du mal à se défendre... Ils n'avaient pas vu le coup venir de la part de Mediana, lorsque les armées avaient posé pieds sur leur propre territoire, et seule la ville frontalière avaient été envahie. Hors, là, au milieu des plaines de ce pays central, une jeune femme se trouvait. A une cinquantaine de pas d'elle, les troupes s'arrétèrent, et un petit groupe d'une dizaine de personnes fut envoyé en éclaireur pour voir qui était cette personne. Ceux-vi étaient armées en moitiés d'épées simples, et l'autre moitiés d'arcs et de flèches. Une seule personne parla, les casques empêchaient de faire la différence entre les soldats, mais on pouvoit reconnaître cependant une voix de femme sous l'attirail métallique:

"Au nom du Seigneur Argul, que faites-vous sur ces terres?"

Aucune arme n'avait été dégainée, mais tous les soldats présent étaient rapide à agir. Le fait est quu'il y avait beaucoup de seigneurs de part le monde, Argul n'étant guère connut des gens, la plupart du temps. Le reste était de savoir si cette personne pouvoit être ou non un éclaireur ou un espion ennemi.

Terra qui était depuis au moins une vingtaine de minutes seule, se vit alors entouré par une bande de gros balourds qui parlait au nom d’un seigneur qui se nommait Argul…
Terra regarda es gros machin tous aussi moche les uns que les autres…
Aucunes armes n’étaient déployer pour la faire parlé ou quoi que se sois d’autres…
Ils lui demandaient ce qu’elle faisait sur ces terres… Terra les regarda et dit :

« Nan mais en quoi ça vous regarde ce que je fais ici sur ses terres… Je vous dirais alors que je vis ici depuis toute petite, je ne vois pas en quoi sa vous gêne que je me balade dans ma ville natale ! »

Elle se retourna et vit un autre machin tout moche quelques mètres plus loin… Elle le regarda et gueula :

« Hey toi là bas, que me veux tu ? Je ne t’ai rien fait okay ? Je vis ici alors fichez moi la paix !!! »

Ecoutez, cette jeune fille a perdu son seul amis il y a longtemps, alors elle est un peu devenus psychopathe, il ne faut pas lui en vouloir…

Les soldats observèrent quelques instants la jeune femme, elle risquait beaucoup à s'énerver comme ça face à une armée. La femme qui avait engagé le dialogue continua de parler:

"Deux mots: guerre d'invasion. Je vous prie de nous suivre." Le fait est que si Terra ne suivait pas, elle devrait réussir à s'enfuir face à une armée, ou mourir, ils ne pouvaient laisser quiconque se permettre de donner leur position.
Terra était de toute façon visiblement assez impulsive, et déjà, les archers et arbaletriers s'étaient préparer à tirer. L'homme en armure noire, la seule armure noire de l'armée de Médianna, monté sur un cheval avec accroché dans son dos une épée gigantesque, descendit de sa monture quand la jeune femme l'interpella. Elle avait vu en lui avec raison le chef de l'armée.

"Tu meurs ou tu nous suis, choisit." Prononça Argul, sa voix se faisant caverneuse dans son armure, il n'avait pas la main au manche de sa lame, mais il était cependant toujours prêt à combattre, question d'habitude de la part d'un fils de mercennaire, même élevé au rang de seigneur général des armées. Instinctivement, on pouvait remarquer qu'il avait sorti l'éventuallité de la mort avant celle de la survie, question d'instinct de tueur.

A force de parlé, elle avait finit par énervé l’armée qui se mit en position de tire… Elle s’empara de sa faux et dit :

« Si je dois mourir, autant attendre… »

Elle rangea cette arme et alla doucement vers le gars qui venait de descendre de son cheval et qui lui avait adressé la parole…

« Je vous suis… »

Elle s’arrêta à quelques mètres de lui en le regardant droit dans les yeux enfin si c’était vraiment ses yeux car ce monstre ideu portait une armure en métal noir… Attention, en métal, elle aurait très bien pu lui fondre en quelques secondes, mais elle ne le fera pas, elle ne voulait pas faire sa méchante, enfin pas encore…
Pour l’instant, elle était calme même si elle pourrait peut être l’être plus !
Elle avait le sourire et en aucuns cas, n’avait peur de ce type laid, la seule personne en laquelle elle avait peur était sa propre personne que pourtant elle connaissait par cœur…

* Je devrais faire attention à ces réactions… Sa risque d’être marrant si jamais ils s’énervent tous en même temps…*

Argul regarda d'un air dédaigneux cette jeune femme sûrement pas beaucoup plus jeune que lui mais bon... Elle semblait, quoi qu'il en soit, pas trop stupide pour s'imaginer avoir une chance de victoire seule face à une armée. Comme à chaque fois que quelqu'un arrivait dans l'armée et que rien que sa présence était douteuse à ses yeux, quand elle l'observa, son regard allant droit dans ses yeux sans pour autant les voir, il s'approcha et d'un simple geste pose et retira rapidement sa main sur le front de la jeune femme. Ceux qui avaient subit la même chose ne tarderaient sûrement pas à lui dire ce que cela signifiait pour elle.
Argul ensuite se retourna et alla remonter sur son cheval, puis fit signe à son armée de se remettre en route. Après tout, la prochaine ville d'après les carte de Médiana, n'était pas si loin que cela, une vingtaine de lieues au plus. La petite équipe qui avait accueillie la jeune femme fit signe a cette dernière de bien vouloir les suivre, tandis que la cavalerie, dirigée par le Général Argul, reprenait sa marche inéluctable au sein des terres de Phoenixia. Ce fut bien rapidement, à peine un quart d'heure de marche après la rencontre, que les soldats purent appercevoir a l'horizon brumeux les contours de la ville, annoncée par leurs stratèges, qui se nommait Lys. Les subordonnés d'Argul s'organisèrent alors, préparant les soldats et les ingénieurs, à monter les scorpions, et a chercher des pierres pour les catapultes. La vile ne durerait pas assez longtemps pour mériter de monter les trébuchets, qu'on ne pouvait pas faire rouler sur le sol de part leur grande taille.
Environ une heure plus tard, l'armée était presque aux portes de la cité, le camp avait été établis dans une forêt, tandis que juste en dehors se regrouppait pour l'assaut les soldats et les catapultes qui commençait déjà à être mises sur ressort, des rochers ayant été pris dans le forêt, près d'un cours d'eau. Les scorpions quant à eux avaient déjà commencés à lancer leurs javelots sur la ville qui malgré quelques préparations, ne tiendrait pas plus d'une journée avant que ses murs soient aux envahisseurs. L'armée de la ville, ou plutôt sa milice désorganisée, sortit de ses murs, prête a en découdre avec l'armée d'Argul. Ils n'avaient que des épées et des archers. Nul lancier en première ligne face à la cavalerie. Sortant son épée, aussi grande ou presque que les lances de ses propres soldats, Argul fit sonner la charge tandis que les archers couraient derrière la cavalerie sous couvert des chevaux, en compagnie des soldats armée de simples glaives.

La jeune terra ne bougea pas lorsque le grand machin pas beau lui passa sa main sur le front et le lui retira alors après deux seconde qu’elle soit posé sur son front.
La jeune fille se vit alors ‘accepter’ dans l’armée. Un soldat se tenait devant lui, elle frappa a son armure et lui demanda alors :

« Excusez moi, je voudrais savoir ce que signifiait le geste que votre chef viens de me faire… »

Elle attendit simplement la réponse du soldat qu’elle venait de déranger en pleine marche.
Elles les suivaient, de toutes façon, elle n’avait pas le choix, c’était ou elles les suivaient ou elle mourait égorger par leur chef !
Elle préférait malgré le mal quelle avait vivre.
Elle regarda droit devant elle, elle voyait alors là où l’armée allait poser les armes et surement pour trouver d’autres âmes à prendre pour leurs armée de tueur qui avançaient de villes en villes.
Elle voyait le nuage blanc bouger doucement vers la ville suivante, il ne faisait guerre beau aujourd’hui… Et en plus de cela, elle c’était fait récupérer par l’armée…

( je suis désolée de ce post si court -_-)

Le soldat observa rapidement la jeune femme, il n'avait jusque là pas vraiment prêter attention à ce qu'il c'était passé, mais il répondit malgré tout.

"Il vous a simplement marqué, si vous faites quelques chose qu'il aime vraiment pas, votre tête explose. "

Nombreux étaient les personnes qui avaient servit d'exemple, cela au final pour ne plus avoir à craindre la moindre rébellion face aux ordres du Chancelier de Mediana. Cela ne plaisait pas véritablement à Argul de devoir agir ainsi, mais obéir pour le bien de sa contrée, quelques soient les ordres, était pour lui une obligation morale.

***

L'armée extérieur à la ville se faisait laminer, Argul tranchait les têtes malgré les armures et ceux jusqu'a ne plus pouvoir compter - bien qu'en général, il ne compte jamais. Quand enfin, la milice de la ville fut écrasée, et que la retraite sonna pour eux, Argul rappela ses troupes, car sûrement sur les côtés des murs, à l'intérieur, étaient embusqués des gardes. Quelques minutes plus tard, le pont levis était remonté. Il ramena au camps ses troupes de cavaliers, et laissa les archers sur place, aux mains d'un commandant. Les ordres de la troupe étant les mêmes depuis environ un mois, ils savaient maintenant quoi faire dans ce genre de situation, Argul n'eu même pas besoin de donner verbalement ses indications. La ville n'était pas vraiment un emplacement stratégique après tout.
Argul revint donc à sa tente, un soldat en particuler le vit et le suivit jusqu'a l'intérieur. Argul ne fut pas vraiment surpris et alla s'implement s'assoir sur un matelas posé à même le sol, et il retira son casque qu'il gardait de manière générale devant tout le monde. Même le chancelier n'avait que rarement vu le visage d'Argul, qui pouvait surprendre par son air juvénil.

Spoiler:

"Ahh... Ca fait du bien de respirer normalement."

Le soldat n'avait pour le moment pas bougé, ni parler, on pouvait cependant voir sous son haume la personne sourire. Quand enfin le soldat parla, ce fut une voix de femme qui s'adressa au général:

"Une habitude dure à défaire... Tu devrais pas mettre sur truc a gueule de loup toute le temps, ça fait peur ax soldats... Même si je sais que c'est aussi le but."

Argul aquiesça tranquillement et prenant une fine serviette, s'essuya le visage du produit qui était à l'intérieur de l'armure, fait pour ne pas blesser par sa forme bizarre. C'était aussi ce produit qui donnait au général sa voix si particulière quand il portait son casque. Nombres de femmes étaient dans l'armée qui marchait sur Phoenixia nul ne pouvait savoir qui était qui vraiment avec toutes ces uniformes identiques. La femme retira son haume afin de pouvoir regarder le général dans les yeux sans metal entre les deux:

Spoiler:

La femme de rapprocha, le casque calé sous le bras, observant le général affalé sur un matelas.

[HRP: Suite de cette partie du récit plus tard, plus le temps pour le faire là.]

***

Le soldat qui était en charge de la nouvelle lui demanda son identité, histoire de mettre sa par écrit, et quand ce fut fais il lui remit enfin un équipement pour pouvoir aller au champs de bataille:

"J'aurais besoin de savoir, vous savez combattre a cheval, tirer a l'arc ou bien combattre à l'épée? Votre grande faux, si vous voulez l'utiliser, faut vraiment bien faire gaffe aux soldats de notre camps qui seront à côtés de vous."

Terra fut surprise de les voir se jeter sur cette petite ville et tout détruire sur leurs passage...
La jeune fille ne bougea pas, elle ne voulait pas se mettre dans cette bataille bien que l'envie de tuer lui ferait énormément plaisir, peut-être bien qu’avec beaucoup de chance, elle trouverait un pouvoir assez fort pour quelle prenne un malin plaisir a faire souffrir le pauvre gars qu’elle aurait choisit comme cible, mais elle resta en arrière...
Bien entendue, quand ils furent enfin revenus au campement, le chef se retira avec sa tête de loup en métal.
Elle avait envie de lui fondre se casque en espérant voir un homme magnifiquement beau en dessous, mais pour cela, il aurait fallu qu’elle s’approche de cet homme étrange…
Quand elle allait s’avancer vers le chef, celui-ci entra dans sa tente suivit d’un autre combattant et un autre lui parla en lui demandant alors son identité et si elle savait se battre avec l’épée ou quoique se sois d’autre.
Terra le regarda d’un aire interrogatif et dit :

« Je suis Terra.
Oui je sais me battre, tuer de pauvres gens qui n’ont rien fait, ou presque, c’est ma spécialité…
Mais puis-je vous demander pourquoi vous me demandez tant de chose sur ma pauvre personne ? »

Elle n’affichait aucun sourire en gardant les yeux rivé sur la tente du chef qui ne se décidait pas a y sortir…
Le soldat qui l’avait accompagné était un peu bizarre, on aurait dit qu’il le connaissait très bien et qu’ils avaient une relation plus que Chef-Soldat, mais cela, Terra était surement a l’avoir remarqué…
Peut être aurait-elle le plaisir d’être aussi proche de cet être si inquiétant et si passionnant en même temps…
Peut-être qu’ils voulaient la prendre dans leurs armée, cette idée enjouait la jeune fille…
Elle attendait désespérément une réponse de la part du soldat qui venait de la questionner…

Argul resta tranquille quelques temps, mais savait qu'il ne pouvait pas faire certaines choses, même si elles n'avaient pas lieux, il ne pouvait même pas laisser cette idée germer dans l'idées dans les autres soldats. Il fit un geste rapide de la main:

"S'il te plaît, Juno..."

"Je sais."

Elle remit se casque en place, sans dire un mot de plus, et sortit de la tente. Argul de son côté, réfléchit quelques instants. Avait-il le désir de se lier avec une femme plusieurs années, peut-être même jusqu'a sa mort? La réponse était claire dans son esprit: Non. Les gens meurents en souffrant, et leur mort fait souffrir les autres, ceux a qui ces gens sont attachés. Déjà s'il mourrait le jour même, Juno pleurerait, et il ne le voulait pas. Il ne voulait pas faire de mal aux gens de manière générale, un peu bizarre pour quelqu'un qui a choisit de vivre et de mourir par l'épée. Car Mediana prévaut, puis vient la Maison dirigeante, à égalité avec le peuple.
Argul se releva du matelas. Il avait d'autres armures, toutes présentes sous la tente, mais son caractère de l'instant choisissait toujours pour lui, et en ce moment, l'heure était à la guerre et à la peur que l'on inspire. Il se servit un verre d'eau a partir d'une cruche sur la seule table en bois de la tente, il se désaltéra beaucoup, car porter une telle armure tenait bien évidement vraiment chaud. Puis enfin, il sortit après avoir remis son casque. Un des commandants était juste a l'entrée, à l'attendre.

"Pas de prisonniers, pas de recrues dans cette ville. Laissez juste les fuyards partirent, nous finiront bien par les rattrapper à un moment ou à un autre."

"Bien, Général Argul."

Telle serait ainsi le sort de la plupart des gens. Mais Argul n'était pas stupide, certains soldats épargneraient les citoyens, leur permettraient de fuir, pas devant lui mais ils le feront de tout manière. Ce n'était pas important, c'était un détail prit en compte pour les stratégies. Argul put voir un instant la jeune femme qu'ils avaient trouvé sur le chemin de la ville. Il s'approcha d'elle, et put l'entendre dire, juste une phrase, la fin visiblement:

"...Pourquoi vous me demandez tant de chose sur ma pauvre personne ? "

Le sujet était évident, les questions de bases pour toutes les nouvelles recrues.

"Car vous allez tuer des gens, tout simplement."

Le nom, aucune importance, sauf si elle réussissait à l'impressionner.

Les sources de la villes avaient été empoissonées par un procédé simple et facile à pratiquer: On avait prit les cadavres de soldats adverses et on les avaients simplement placés en amont de la source qui approvisionnait la ville. Il avait pour cela bien sûr fallut creuser un peu, mais avec une armée, c'était une chose rapide à faire. Se dirigeant vers l'écurie, il y prit son cheval et fit signe aux soldats qui étaient toujours prêt à partir a l'assaut de venir le suivre, ce qu'ils firent ainsi que d'autres soldat qui vinrent à pied. Il arriva finalement devant les portes de la ville, mais comme il le pensait, les archers ne tiraient pas, ils n'avaient reçu aucun type d'ordre pour l'abattre, peut-être même le contraire.

"Vos sources sont empoisonnées, vous pouvez toujours vivre sur vos réserves. Ou bien vous pouvez décidez rapidement du sort de votre ville en nous désignant un endroit où l'on pourra choisir un lieu de bataille, en nous envoyant un héraut. J'ai rien contre votre ville, mais vous mourrez, dans la maladie et la souffrance, ou dans le sang et la gloire que les dieux nous accordent lors de ces moments."

Une fois ce petit speech prononcé il s'en retourna au camps, comme d'habitude le plan était simple. Un siège ne durerait pas longtemps de toute manière, mais la ville avat aussi érigé des murailles qui empêchait tout messager de partir demander de l'aide. Si ils envoyaient un pigeon voyageur, ils seraient tous morts avant même que celui-ci n'arrive à destination. Les gens, seuls face à la mort paniquent, mais en groupe, ils se résignent et font parfois montre d'un courage qui se veut folie aux yeux des vainqueurs.

Elle avait gardé un œil sur la tente du chef et le vit alors sortir de sa tente et se diriger tout près d’elle quand elle était en train de parlé, le soldat ne répondit pas, ce fut le chef qui lui dit simplement que c’était parce qu’elle allait tuer…

Elle sourit en entendant sa voix qui était gravit par son armure si impressionnante…
La petite armée était près d’une ville protéger par des murailles qui n’avaient pas l’aire d’être bien facile à détruire…
Elle regarda le chef prendre son cheval avec un petit groupe et un autre a pied qui les suivaient en direction de la ville, elle entendu simplement des chuchotements, rien d’autre…
Elle ne comprenait pas bien ce qu’il voulait faire.

Bien entendu, à côté d’elle il y avait encore un soldat qui devait toujours être le même, elle se tourna vers lui et demanda :

« Dîtes, moi, s’il vous plait qu’elle est la tactique d’attaque de l’armée ? Nan parce que là je ne comprends pas grand-chose… »

Elle attendait simplement la réponse du soldat qui avait l’air concentré sur les faits et gestes du chef qui revenait à présent vers le campement…
Elle n’attendit pas la réponse du soldat et alla d’un pas décidé vers le cheval du chef et dit d’une voix tremblante ayant peur de la réaction du chef :

« Puis-je vous poser une question ? »

Elle ne le regardait pas, elle marchait doucement à côté de l’encolure du cheval en regardant ses pieds… Elle espérait vraiment ne pas avoir fait de bêtises, si il voulait l’utilisé en tant que quoique se sois, elle serait d’accord, exemple, pigeon voyageur ou un truc dans le genre…
Elle pourrait le servir jusqu'à sa mort si il fallait, mais de toutes façons, elle pourrait se protéger avec des plaque de métal, c’est pratique de pouvoir voler les pouvoirs des pauvres gens qui n’ont jamais rien demandé…
C’était son plus grand plaisir, voir souffrir les pauvres gens qu’elle ne connait pas…

A peine revenait-il que la jeune fille l'aborda, timidement, ce qui semblait bizarre. Elle regardait ses pieds, et marchait sur le côté. Certe, Argul ne la connaissait pas vraiment, mais pour avoir fait face seule a une armée, elle semblait d'un coup toute refroidie.

"Pose toujours."

Avant même qu'elle ne le fasse cependant, Argul se tourna vers un de ses commandants:

"Allez piéger la plaine sud, ils vont forcément choisir ce terrain-là pour combattre, j'ai pas envie de pertes inutiles." Il réfléchit quelques instants, et pensa a voix haute ce que presque tout le omnde pensait, mis à part les sadiques: "Boulot de merde."

Il faut dire que pour un général et un guerrier formé à l'art du combat d'une manière assez expérimentée, tuer des gens qui n'avaient fait que s'entrainer avec des gens inexpérimentés, c'était comme faire du feu dans une forêt en automne. Vraiment trop facile. Il faut dire que Phoenixia n'avait pas une armée énorme et celle-ci servait principalement de garnison aux très grandes villes, pour maintenir l'ordre en tant que police assistant la police locale. Ce qui en temps de paix est très efficace fait que les soldats perdes leurs compétences, leur instinct, et en temps de guerre, meurent plus facilement.

Argul sauta de son cheval, du côté de la jeune femme.

"D'abord, comment tu t'appelles?"

Il préférait connaître le nom de la personne avec qui il engageait la conversation, il fallait aussi dire que cette jeune femme l'intriguait. Son cheval, tandis qu'il marchait vers sa tente et qu'il faisait signe a la jeune fille de le suivre, fut ramener à l'écurie. Normalement les chevaux des nobles ont leur propre écurie, mais bon, Argul n'en n'est pas un, et il n'aime pas se mettre trop a l'écart des autres soldats. Il rentra donc dans sa tente tira la chaise qu'il y avait devant sa table pour la jeune fille et s'installatranquillement sur son matelas à même le sol. Pas très convenable, mais il aimait bien être positionné de la sorte.

Le chef parla a un soldat en lui disant un truc totalement incompréhensible pour Terra, il fallait quelle apprenne les bases…

Il sauta de son cheval atterrissant à côté d’elle et l’invitant alors a le suivre, elle sourit et souleva la tête en le suivant.
Ils se dirigeaient vers la tente, il entra l’invitant alors a y faire de même et tira une chaise pour qu’elle s’y installe ce quelle fit sans même attendre qu’il lui demanda, lui, était assis sur son matelas qui était ras le sol.

Ceci lui parut alors bizarre, elle le regarda avec un sourire quand il lui demanda son nom, elle sourit et dit :

« Terra, je l’avais dit a l’un de vos soldat… »

Elle hésita un moment et puis du coup se lança et dit :

« En fait, tout à l’heure je voulais vous poser une question, je voulais savoir quelle était vôtre tactique d’attaque, et aussi vous dire que si vous avez besoin de moi, je suis là pour ça^^ »

Elle attendit la réponse du grand chef alors que sa chaise se balançait de droite à gauche…
Elle avait un sourire afficher aux lèvres, rien ne pouvaient le lui enlever, au début, elle eut envie de lui demander son nom, mais elle trouvait cela déranger, en sachant en plus quelle venait à peine de le rencontrer, ceci ne se faisait guerre…

Elle attendait simplement sa réponse…

Argul observa la jeune femme, ou plutôt Terra comme elle disait s'appeler. Tout a l'heure toute timide, avant encore revèche face à toute une armée et désormais toute joyeuse d'être en face a face avec le général d'une armée. Lunatique? Sûrement. Il décida tout de même de lui dire la tactique qu'il utilisait contre cette ville, qui de toute manière il le savait, ne serait pas efficace contre toutes les autres villes.

"La tactique d'attaque? Leur faire peur principalement. Mais pour tout dire, il faut observer comment de manière générale les Phoenixiens font leurs batailles, le plus souvent à côté d'une plaine de la ville attaquée, qui n'est pas sous l'emprise de l'ennemi. Ils ont quatres portes, l'ouest est sous notre contrôle, la plaine nord est trop dégagée, et celle de l'Est étant éloignée, nous permettrais de pénétrer leur ville pendant leur absence. Donc ils choisiront la plaine sud. D'où le fait qu'il faut la piéger correctement. Quelques mines correctement placées pour briser leur charge et leur moral, ça nous évitera des pertes stupides et inutiles."

Rien de très particulier quoi, juste de la logique simple quand on connait les habitudes du coin. Il observa quelques instant Terra, des cheveux gris, yeux clairs, il manque juste la peau frippée pour qu'elle soit vieille. Mais elle avait un beau visage qui avait un air étrange avec des yeux clairs. Bref, il était mal à l'aise avec cette fille. De plus, utiliser une faux comme arme, c'était en général l'expression d'un profond trouble moral. En tout cas, Argul avait repérer cela sur toutes les personnes qu'il avait connu utilisant ce type d'armes. Trop bizarre donc pour être fiable. Il lui ferait bien sauter la tête si elle se mettait à faire n'importe quoi.

"Je vais être franc. J'aime pas trop qu'on fasse des saloperies dans mon armée, et j'ai comme l'impression que vous risquez d'en faire, Terra. Evitez simplement d'en faire de trop grosses et de détériorer l'équipement ou de tuer les gens, surtout avant les batailles. Ensuite bon, la loi Mediane dit qu'après trois bataille, vous pouvez vous barrer d'ici vu qu'au départ vous n'avez pas prêté serment."

Il fallait déjà survivre à trois batailles, ensuite bon, elle pourrait toujours prêter serment, mais en général ceux qui était sous cette loi préféraient partir Pour Osoresh ou une autre ville, car ils avaient gagné le droit d'être citoyen Median. Mais cette fille allait sûrement le surprendre. Juste une impression.

Terra écoutat attentivement ce que le chef de cette armée disait...
Oui, elle n'avait pas prêter serment en effet!
Elle leva une main en posant l'autre contre son coeur et dit en souriant:

"Dans ce cas, je le prête...
Je prête serment de vous obéir au doight à l'oeil, je ferais ce que vous me dites de faire sans chercher a vous contredire!"

Elle baissa la tête posant un genoux a terre!
Il n'avait cerrtes pas confiance en elle, mais elle le trouvait tellement mystèrieux que du coup, elle eut envie de rester avec lui, elle prêtat donc serment!
C'était de toute façon la seule et l'unique façon qu'elle avait de se passer le temps, et ainsi éviter de se déplacer a l'aveuglette, ainsi, elle allait enfin trouver une raison de vivre autre que celle de tuer de pauvre gens pour avoir leurs pouvoirs!
Elle voulait faire partit de cette armée, pour TOUJOURS!
Enfin... pour le reste de sa courte vie du moins, parce que des guerres, elle n'en avait jamais fait, mais cela ne l'empechait pas d'être réffléchit avant tout acte quelle ferait!

Argul poussa un court soupire, cette jeune fille ne semblait pas comprendre la situation et en quoi consistait le fait de prêter serment à l'armée Médianne. Terra n'avait visiblement pas la culture Médianne, et cela était vraisemblablement normale étant donné qu'on était à Phoenixia.

"Prêter serment, c'est pas a moi, c'est face au roi que ça se fait, et puis cela ne se fait pas de cette manière. Mais bon, pour moi, cela ne change pas grand chose, tenez-vous en à votre parole. Je réitère aussi mes propos: évitez les grosses saloperies dans mon armée.

Il n'avait pas grand chose d'autre à dire, et il commençait à se faire tard, aussi il se reeva et dans la grande tente, se déplaça vers un mannequin et, défaisant son armure, la plaça de la sorte sans pour autant l'y arnacher sur les mannequin de bois, finissant par son casque. Envers une persnne comme Terra, il n'avaitpas vraiment de pudeu vis-a-vis de son visage. Il prit enuite sur une petite table serviette, et la trempant dans l'eau, se nettoya le visage des graisses noires. Se turnant enfin vers Terra apr-s tout ça, il lui demanda:

"Autre chose peut-être? Et par pitié, relevez-vous." Certe, la voix n'était plus du tout caverneuse comme avec le casque, mais cependant il parlait toujour avec une certaine autorité, qu'il fut avoir si l'on est général d'une armée. Mais c'est surtout que Terra était à genoux et la situation était un peu génante. Il n'était pas noble, prsonne ne devait s'agenouiller devant lui.